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Plon
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Vers la fin du Ier siècle, l'historien latin Tacite s'interroge sur le destin du monde. Il fait la revue des moeurs collectives et des caractères privés, révèle les calculs et les manoeuvres des acteurs politiques, décrit la folie contagieuse, provoquée par la volonté de puissance, tout en se souvenant d'une cause déjà perdue : l'idéal républicain. Les lettrés, les propriétaires terriens et les militaires désintéressés, qui formaient l'élite romaine, ont cédé la place à des courtisans, à des technocrates, à des nouveaux riches. J'ai pris le parti de considérer que la pensée de Tacite a valeur universelle et qu'il s'adresse encore à notre temps. Certes, il évoque une période cruelle où les princes étaient surtout des tueurs ou des scélérats. Il montre comment le pouvoir peut dégénérer en despotisme de palais, en servilité, en affairisme et en bureaucratie. Nos manières sont plus policées. Mais ses formules, étincelantes d'intelligence et de pénétration, semblent subitement viser une actualité permanente. Sonnent-elles plus juste à nos oreilles parce qu'elles concernaient une forme de décadence ou de déclin ? Je laisse à chacun le soin d'en juger et de lire entre les lignes.
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Dictionnaire amoureux de l'Italie - tome 2 - De N à Z
Dominique Fernandez
- Plon
- 10 Septembre 2019
- 9782259209403
Entre Dominique Fernandez et l'Italie, c'est d'amour qu'il s'agit. Il y a quelque vingt ans, Le Promeneur amoureux (Plon) réunissait trente-cinq études sur la littérature, la musique, les villes, les mythes d'Italie. Aujourd'hui, elles sont cent cinquante-deux, et toujours sur les sujets les plus divers, de Dante à Casanova, de François d'Assise à Laurent le Magnifique, de Michel-Ange à Verdi, de Trieste à Palerme, de Rome à Sienne, d'Antonioni à Fellini, des castrats à Callas. La grande Italie, visitée et revisitée en compagnie du photographe Ferrante Ferranti, la terre des splendeurs antiques et des extases baroques, mais aussi des moeurs quotidiennes, des mamas, de la mafia, des théâtres et des pâtisseries, explorée jusque dans ses replis les plus secrets, dans ses trésors les plus inattendus. Voyage initiatique, ce Dictionnaire amoureux, qui détaille de A à Z les richesses et les sortilèges du plus beau pays du monde, mêle les vertus de l'oisiveté et les charmes de l'intelligence, tout au long d'une promenade joyeusement érudite et savamment gaie.
Publié pour la première fois en 1997, avec pour titre Le Voyage d'Italie, cet ouvrage était agrémenté d'un sous-titre : Dictionnaire amoureux . Dominique Fernandez fut donc à l'origine de la collection. -
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On a tort de croire qu'on connaît Marcel Proust quand on a lu son roman. A la recherche du temps perdu est loin d'être une oeuvre autobiographique. Pour s'en rendre compte, il suffit de lire avec attention ses lettres. Là se révèlent les mille facettes du caractère de cet homme ondoyant et divers. Ce qu'il cache dans son roman - que ce soit par modestie ou par discrétion - s'aperçoit à travers ses lettres.
Philip Kolb présente et éclaircit pour nous toutes les lettres qu'il a pu réunir de Proust et de ses correspondants. Ces lettres, datées et classées par ordre chronologique, nous permettent de suivre le cours de toute une vie et de toute une époque.
C'est la vie d'un homme doué d'un des cerveaux les plus puissants de tous les temps. Proust était curieux de tout. Il écrivait à des personnalités des milieux les plus variés. Il avait une compréhension presque surhumaine des beaux-arts. Il sut dominer des maux physiques et intolérables pour nous laisser l'oeuvre littéraire la plus significative de son temps.
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On a tort de croire qu'on connaît Marcel Proust quand on a lu son roman. A la recherche du temps perdu est loin d'être une oeuvre autobiographique. Pour s'en rendre compte, il suffit de lire avec attention ses lettres. Là se révèlent les mille facettes du caractère de cet homme ondoyant et divers. Ce qu'il cache dans son roman - que ce soit par modestie ou par discrétion - s'aperçoit à travers ses lettres.
Philip Kolb présente et éclaircit pour nous toutes les lettres qu'il a pu réunir de Proust et de ses correspondants. Ces lettres, datées et classées par ordre chronologique, nous permettent de suivre le cours de toute une vie et de toute une époque.
C'est la vie d'un homme doué d'un des cerveaux les plus puissants de tous les temps. Proust était curieux de tout. Il écrivait à des personnalités des milieux les plus variés. Il avait une compréhension presque surhumaine des beaux-arts. Il sut dominer des maux physiques et intolérables pour nous laisser l'oeuvre littéraire la plus significative de son temps.
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On a tort de croire qu'on connaît Marcel Proust quand on a lu son roman.
A la recherche du temps perdu est loin d'être une oeuvre autobiographique. Pour s'en rendre compte, il suffit de lire avec attention ses lettres. Là se révèlent les mille facettes du caractère de cet homme ondoyant et divers. Ce qu'il cache dans son roman - que ce soit par modestie ou par discrétion - s'aperçoit à travers ses lettres. Philip Kolb présente et éclaircit pour nous toutes les lettres qu'il a pu réunir de Proust et de ses correspondants.
Ces lettres, datées et classées par ordre chronologique, nous permettent de suivre le cours de toute une vie et de toute une époque. C'est la vie d'un homme doué d'un des cerveaux les plus puissants de tous les temps. Proust était curieux de tout. Il écrivait à des personnalités des milieux les plus variés. Il avait une compréhension presque surhumaine des beaux-arts. Il sut dominer des maux physiques intolérables pour nous laisser l'oeuvre littéraire la plus significative de son temps.
L'autobiographie de Proust, la voici dans sa Correspondance.
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Correspondances de Marcel Proust t.X ; 1910 et 1911
Marcel Proust
- Plon
- 1 Septembre 1983
- 9782259010290
On a tort de croire qu'on connaît Marcel Proust quand on a lu son roman. A la recherche du temps perdu est loin d'être une oeuvre autobiographique. Pour s'en rendre compte, il suffit de lire avec attention ses lettres. Là se révèlent les mille facettes du caractère de cet homme ondoyant et divers. Ce qu'il cache dans son roman - que ce soit par modestie ou par discrétion - s'aperçoit à travers ses lettres. Philip Kolb présente et éclaircit pour nous toutes les lettres qu'il a pu réunir de Proust et de ses correspondants. Ces lettres, datées et classées par ordre chronologique, nous permettent de suivre le cours de toute une vie et de toute une époque. C'est la vie d'un homme doué d'un des cerveaux les plus puissants de tous les temps. Proust était curieux de tout. Il écrivait à des personnalités des milieux les plus variés. Il avait une compréhension presque surhumaine des beaux-arts. Il sut dominer des maux physiques et intolérables pour nous laisser l'oeuvre littéraire la plus significative de son temps.
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1919 : l'année où Proust reçoit le prix Goncourt.
Marcel Proust a quarante-huit ans. Il publie A l'ombre des jeunes filles en fleurs et Pastiches et mélanges. Avec le Goncourt, qui lui est décerné le 10 décembre, il rencontre la célébrité et le grand public.
Si l'écrivain est consacré, si les donc exceptionnels du critique sont révélés dans la NRF grâce à Jacques Rivière qui lui réserve une place de choix, l'homme continue de vivre dans la tourmente : sa santé est mauvaise, l'immeuble où il demeure est vendu et il doit déménager. Après avoir passé quatre mois dans une maison où le bruit l'incommode, Proust s'installe dans un meublé de la rue Hamelin où il finira ses jours.
Mais l'épistolier est plus fécond que jamais et, sur son cheminement de créateur comme sur sa vie, ce nouveau volume apporte un éclairage essentiel.
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1920 : la renommée de Proust ne cesse de s'étendre. L'article sur Flaubert, paru le 1er Janvier dans la NRF, révèle les qualités d'analyse littéraire de celui qui, depuis l'obtention du Goncourt en Décembre 1919, est déjà reconnu comme romancier. Mais Proust doit encore convaincre les critiques réticents. Par lettre, quand il ne peut dîner avec eux, il leur expose ses conceptions en art et le souci de composition qui gouverna son oeuvre.
Proust corrige les épreuves du Côté de Guermantes, dont le premier volume paraît en Octobre. Il rédige sa préface au livre de Morand, Tendres Stocks. Il envisage en outre une éventuelle candidature à l'Académie, et des amis pensent à lui faire obtenir la croix de la Légion d'honneur. Le temps le presse, dans ses démarches qui ne visent qu'à faire connaître l'oeuvre davantage.
Tout au long de l'année il continue de se plaindre de sa santé. Mais le travail reste sa préoccupation essentielle : l'achèvement de la Recherche et l'espoir de vivre assez longtemps pour en corriger les épreuves. La vie a changé depuis le prix Goncourt, et c'est ce que l'on découvre au fil de ces lettres.
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Connaît-on Marcel Proust quand on a lu son oeuvre ? A la recherche du temps perdu est loin d'être une autobiographie. Pour s'en rendre compte, il suffit de lire attentivement ses lettres. Là se révèlent les milles facettes du caractère de cet homme « ondoyant et divers ». Ce qu'il dissimule dans son oeuvre - que ce soit par modestie ou par discrétion - peut être discerné dans sa Correspondance.
Philip Kolb présente et éclaire les lettres qu'il a pu réunir de l'écrivain et de ses correspondants. Cette correspondance, datée et classée par ordre chronologique, permet de suivre le cours d'une vie et d'une époque, et constitue une sorte de journal. On y retrouve un homme d'une culture immense, doué d'une étonnante capacité d'assimilation et de synthèse. Lecteur infatigable, Proust était curieux de tout. Il correspondait avec des personnalités de milieux les plus variés. En art, il saisissait d'instinct le propre d'une oeuvre, comme en témoignent ses merveilleux pastiches. Il dut dominer ses crises d'asthme et sa faiblesse physique pour nous laisser l'oeuvre la plus significative de son temps.
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