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Le Livre Qui Parle
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Tout va pour le mieux entre les deux frères, jusqu'à la mort de Léon Maréchal, un vieil ami de la famille.
En effet, pourquoi donc a t-il légué toute sa fortune à Jean et rien à Pierre ?
Publié en 1883, Pierre et Jean est le quatrième roman de Maupassant et sans doute le meilleur. Au travers d'une véritable enquête policière, avec une intrigue simple et forte, ce roman est à la fois une étude de la société du 19ème siècle et une analyse psychologique tout à fait remarquable.
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Pavel Ivanovitch Tchichikov écume la région dans sa britchka et se fait présenter à tous les notables du coin, du moins à tous ceux qui sont propriétaires d'âmes, le nom pudique donné aux moujiks que leur propriétaire peut à l'envi, vendre, louer, ou exploiter.
Il veut racheter des âmes mortes, ces hommes et femmes qui sont morts dans le servage mais qui apparaissent encore dans les états du recensement ce qui obligent les propriétaires à payer des impôts dont ils se passeraient bien.
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Octave Mirbeau donne la parole à Célestine, une chambrière, qui perçoit le monde par le trou de la serrure et ne laisse rien échapper des «bosses morales» de ses maîtres. Il fait de nous des voyeurs autorisés à pénétrer au coeur de la réalité cachée de la société, dans les arrière-boutiques des nantis, dans les coulisses du théâtre du «beau» monde. Il arrache le masque de respectabilité des puissants, fouille dans leur linge sale, débusque les crapuleries camouflées derrière les manières et les grimaces avantageuses. Et il nous amène peu à peu à faire nôtre le constat vengeur de Célestine : « Si infâmes que soient les canailles, ils ne le sont jamais autant que les honnêtes gens. « Bref, il nous révèle l'envers du décor et le fonds de sanie du coeur humain, mis à nu sans souci de la pudeur. Il réalise ainsi l'objectif qu'il s'était fixé dès 1877 : obliger la société à « regarder Méduse en face» et à prendre « horreur d'elle-même «.
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Dans le pays, on l'appelait la petite Fadette, car elle avait la taille d'un farfadet et les pouvoirs d'une fée. Comme sa grand-mère, elle guérissait les hommes et les animaux. Landry, l'un des jumeaux de la ferme voisine, tombe amoureux d'elle. Mais l'amour d'une sorcière est mal vu dans cette famille, et il rend malade de jalousie Sylvinet, l'autre «besson.» Après La mare au diable, et François le Champi, c'est le troisième roman champêtre de George Sand. Elle y exprime tout ce que la vie lui a appris. L'apparence des êtres ne compte pas, il faut percer l'écorce. La richesse des filles ne fait pas leur bonheur et l'amour est difficile à construire. Son désir inassouvi est là, aussi, d'un amour qui durerait toujours.
La Petite Fadette est l'occasion pour George Sand de nous éclairer une fois de plus sur les moeurs et le monde paysan de l'époque.
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C'est l'histoire d'un amour longtemps jugé impossible que nous conte ce roman, publié en 1886, entre Gaud, fille d'un commerçant de Paimpol, et Yann, le pêcheur, de ceux qu'on nomme les «Islandais».
Mais c'est surtout un grand drame de la mer, et l'une des expressions les plus abouties de ce thème éternel.
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En 1830, la jeune Pauline de Meulien rencontre, au cours d'une chasse, l'étrange Horace de Beuzeval, récemment revenu des Indes avec une réputation de sang froid incomparable. Elle se retrouve bientôt mariée avec lui, se questionnant uniquement sur quelques étranges habitudes de son mari et de ses deux amis.
Au bout de quelques mois, Horace annonce qu'il doit s'absenter afin d'aller chasser en Normandie en compagnie de ses amis. Pauline est inquiète : on ne parle dans les journaux que des bandits qui sévissent dans cette région. Après quelque temps, elle décide d'aller rejoindre son époux... qui n'apprécie guère la surprise et s'absente aussitôt pour deux jours. Elle vit alors des moments de terreur, ose emprunter un passage secret et découvre que son mari et ses compagnons sont les bandits recherchés... Elle assiste, horrifiée, au meurtre d'une jeune Anglaise. De peur qu'elle ne dénonce les coupables, son mari l'enferme dans le cachot d'une abbaye... lui offrant la liberté de mourir lentement d'inanition ou rapidement, tuée par le poison qu'il lui laisse...
Intervient alors Alfred de Nerval, ancien amoureux silencieux de Pauline. «Par hasard», il se trouve pris dans une tempête en mer et s'échoue tout près de cette abbaye... Alfred voit quelqu'un en sortir et décide aussitôt de revenir pour découvrir ce qui s'y cache. Entre-temps, il apprend le décès de Pauline et réalise, se glissant à son chevet, qu'il ne s'agit pas d'elle, mais d'une autre femme, inconnue.
À la nuit tombée, il se rend à l'abbaye où, par de sombres couloirs, il parvient à un cachot où il retrouve Pauline, presque morte... Il la sauve et s'enfuit avec elle en Angleterre, où il prend soin d'elle comme un frère. Ainsi passent quelques mois où Pauline tente de recouvrer sa santé. Un jour, Alfred reçoit une lettre de sa mère lui annonçant les fiançailles de sa soeur avec Horace. Aussitôt, il se rend à Paris et défie Horace qu'il tue en duel. Pauline, apprenant la nouvelle par les journaux, retombe dans ses souffrances. Le couple se rend en Suisse et en Italie, pour permettre à Pauline de se soigner. Hélas Pauline, dans un dernier soupir, jure à Alfred un amour éternel et décède.
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Avec "Le Cousin Pons", Balzac décrit, avec une cruauté réaliste rarement atteinte, la descente aux enfers du malheureux Sylvain Pons, prototype du parent pauvre, compositeur démodé, pique-assiette attendrissant, génial collectionneur de bric-à-brac, et ami du bon Allemand Schmucke. Autour de ces coeurs purs, il construit une impitoyable galerie de portraits : la portière Cibot, l'Auvergnat Rémonencq, l'avocat marron Fraisier, le " tableaumane " juif Elie Magus.
Les parents riches et méprisants Popinot ou Camusot se liguent pour assassiner le pauvre homme par des mots acérés qui sont autant de coups de poignard dans un coeur sensible. Quelques phrases d'un total cynisme surgissent au détour de ces pages inspirées : " En médecine, le cabriolet est plus important que le savoir. " " A la longue, il en est d'une profession comme du mariage, on n'en voit plus que les inconvénients. " Le Cousin Pons, un chef-d'oeuvre absolu à (re)découvrir, dans une version intégrale, interprétée "haut la voix" par Bernard Petit.
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Hélas ! il viendra un moment, pauvre reine, où ce sourire qu'on te reproche envers les gens qui t'aiment, tu l'adresseras en vain aux gens qui ne t'aiment plus.
L'une des affaires les plus dramatiques sous le règne de la reine Marie-Antoinette et du roi Louis XVI.
Alexandre Dumas suit la trame historique et nous dévoile les dessous d'une affaire complexe, où chaque personnage dévoile ses propres motivations, à la fois bonnes et mauvaises.
On prend la mesure de l'enchainement des événements, de l'entrecroisement des idées, des intérêts, des actes, le roman pointe du doigt l'un des moments cruciaux de l'histoire de France car cette affaire qui a considérablement contribué à décrédibiliser la reine de France constituerait l'une des prémisses de la révolte du peuple contre une monarchie qu'il ne respecte plus.
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Nous sommes en 1793, Évariste Gamelin, jeune peintre parisien, sensible à l'injustice et généreux, se radicalise doucement.
Fidèle à Robespierre et à Marat, le jeune homme devient juré au tribunal révolutionnaire, et va franchir peu à peu, sous le prétexte de protéger la révolution de divers complots, la frontière qui sépare le juste de l'ignoble, le bon de l'exécrable, le légitime du totalitaire.
Son amour pour Élodie, la fille de son marchand d'estampes, accentue l'aspect paradoxal de la montée d'une cruauté inspirée par des idées politiques a priori généreuses.
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Narration : Bernard Petit
Au cours d'un dîner, Hermann raconte une « histoire à faire peur » : en 1799, dans une auberge sur les bords du Rhin, se rencontrent par hasard deux jeunes français et un riche négociant allemand. Au matin le négociant est découvert mort, gisant dans une mare de sang à côté de son instrument de chirurgie.
Ce texte est une sorte d'emboîtement de récits dont l'intérêt est lié à une grande force de séduction par ces deux histoires interactives (celle de Prosper Magnan et celle de Frédéric Taillefer) et à son caractère philosophique, qui met en avant les causes autant que les effets.
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Narration : Jean-Luc Debattice
L'insurgé, c'est l'histoire de la Commune de Paris que Jules VALLES a connue de l'intérieur.Sa verve, exceptionnellement évocatrice, retrace une semaine effroyable : les « Versaillais » pénètrent dans Paris, la guerre des barricades, incendies, massacres d'otages .Quand le héros, Jacques Vingtras, regarde Paris, il est frappé par sa couleur, « on dirait une grande blouse inondée de sang ».Revivez avec Jean-Luc Debattice ces événements exceptionnels
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Un champi était un enfant abandonné dans les champs par ses parents. En grandissant, disent « les bonnes gens », les champis deviennent des paresseux et des voleurs. Non, pas s'ils sont aimés, répond George Sand. Une pauvre femme, la Zabelle, puis Madeleine, une jeune femme mal mariée, recueillent un bel enfant et l'aiment tant qu'il le leur rend au centuple. Il n'est question, dans ce livre, que d'amour, amour maternel et amour filial, amour frivole ou passionné. Les romans champêtres de George Sand se passent dans les bois et les champs, dans les cours de ferme et les fêtes campagnardes. Ils rayonnent de pureté. Ils sont aussi un acte de foi et d'espérance en un avenir meilleur pour les pauvres et les malheureux. Pour eux, George Sand a combattu toute sa vie.
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A Paris, au cours de la sanglante année 1793, Marie-Antoinette et plusieurs membres de la famille royale sont détenus à la prison du Temple, dans l'attente d'un jugement qui, sans aucun doute, doit les mener à l'échafaud.
Une poignée de fervents royalistes, dont le chevalier de Maison-Rouge, vont alors tenter l'impossible : faire évader la reine et la soustraire à son sort tragique. Dans cette perspective, ils vont s'assurer la complicité involontaire de Maurice Lindey, jeune officier de la garde nationale, en faction auprès de Marie-Antoinette.
Ce roman, paru en 1846 et rédigé avec la collaboration d'Auguste Maquet, s'inspire très librement de la vie d'Alexandre Gonsse de Rougeville. Sa tentative de transmettre à la reine un message caché dans une fleur est authentique.
Avec Le Chevalier de Maison-Rouge, Dumas nous gratifie d'un récit palpitant. Aux rebondissements d'une intrigue menée avec une parfaite maîtrise, s'ajoute l'atmosphère ténébreuse et fascinante de la Terreur. Un must d'aventures et de sentiments.
Adaptation, ambiance sonore et réalisation : Joël Jarretie
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C'est lors d'une mission à Istanbul, alors qu'il est jeune officier de marine, que Pierre Loti tombe sous le charme d'Aziyadé, une jeune femme enfermée dans un harem.
Pierre Loti fait pénétrer le lecteur dans l'intimité de sa liaison orientale avec la belle Aziyadé, l'odalisque de Stamboul, presque une enfant encore, belle Circassienne de harem qu'il rencontre en secret pendant les années 1876 et 1877.
La frontière est mince entre l'auteur et le narrateur, également dénommé Loti. Ainsi l'autobiographie se fond-elle dans la fiction, au gré des correspondances et des souvenirs partagés.
Entre documentaire et témoignage historique, Aziyadé, sorte de Butterfly orientale, est aussi un roman, conte, journal, carnet de voyage, récit épistolaire, et nous étourdit par sa virtuosité stylistique, son foisonnement de détails, la précision et la justesse de son propos.
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Les Pardaillan Tome 8 ; le fils de Pardaillan II
Michel Zévaco
- Le Livre Qui Parle
- 9 Novembre 2016
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Évidemment, Pardaillan père et fils se sont retrouvés et reconnus.
Une fois encore, les chevaliers de Pardaillan se montrent dépourvus d'avidité, eux pour qui la réussite n'est jamais matérielle. Dans ce nouvel épisode, Michel Zévaco nous brosse un tableau attachant du fils de Pardaillan qui fait honneur à son père. En France, la menace pèse toujours sur Henri IV et un certain Ravaillac entre en scène et le trésor de la Fausta reste introuvable.
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Les misérables ; Jean Valjean Tome 2
Victor Hugo
- Le Livre Qui Parle
- Lqp
- 1 Janvier 2000
- 3354621001395