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Etai
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Depuis le Moyen-Âge, la cavalerie est considérée comme une élite. Au départ équipé d'une lance ou d'un sabre, le cavalier s'est vu doté de l'aristocratique pistolet et du mousqueton, armement spécifique aux différents corps de cavalerie tels les Hussards ou les Dragons. Avec la mécanisation des armées, les cavaliers changent de monture, délaissant le cheval au profit du char de combat. L'armement suit également cette évolution en passant des mousquetons aux revolvers, puis aux pistolets semi-automatiques, pistoletsmitrailleurs et fusils d'assauts. Les fiches techniques présentes dans l'ouvrage passent en revue l'ensemble de l'armement réglementaire de la cavalerie française. Elles constituent un vade-mecum pour les collectionneurs qui leur permettra d'identifier les armes à feu de nos cavaliers par leurs caractéristiques propres.
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Le général Salan (1899-1984) est l'un des chefs militaires les plus connus, mais aussi l'un des plus controversés en raison de sa participation au putsch des généraux à Alger en 1961, puis comme responsable de l'OAS. Avec près de 350 photos et documents pour la plupart inédits, ce livre permet de comprendre qui était réellement Raoul Salan, le chef militaire, mais aussi l'homme, avec ses forces et ses faiblesses.
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De tous les généraux américains de la Seconde Guerre mondiale, George S. Patton Jr. est parmi les plus célèbres. Il est aussi le plus controversé. Ce livre n'entend pas ajouter à la polémique, mais cerner les parts d'ombre de cet homme excessif, tourmenté et tourmenteur, finalement entré dans le panthéon des grands personnages du siècle dernier.
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Maréchaux du Reich, parcours d'exception
François de Lannoy
- Etai
- Histoire Militaire Etai
- 13 Octobre 2010
- 9782726894736
De 1804 à 1815, Napoléon a élevé au maréchalat vingt-six généraux dont dix-huit en une seule « fournée » en juin 1804. Un peu plus d'un siècle plus tard, de 1936 à 1945, Adolf Hitler, Führer du Reich allemand, fait de même avec vingt-sept généraux dont douze en une seule « fournée » en juillet 1940. Mais les similitudes s'arrêtent là. En effet, si les maréchaux du Premier Empire français ont été associés pleinement à la gloire de l'Empire et sont entrés dans la légende napoléonienne, ceux du IIIe Reich, marqués du sceau du régime hitlérien, sont tombés dans l'oubli. En dehors de Rommel (le « héros du désert », immortalisé plusieurs fois au cinéma), de Göring (le principal lieutenant de Hitler), de Paulus (à cause de Stalingrad), de Dönitz (successeur de Hitler) ou peut-être encore de Manstein (le stratège) et de Keitel (l'homme qui signa la reddition des forces allemandes en mai 1945), qui se souvient de nos jours des maréchaux du Reich ? Présents, pour la plupart, dans les grands dictionnaires publiés au lendemain de la guerre, les maréchaux du Reich ont disparu des publications postérieures et quelques-uns, même, ne figurent pas dans les dictionnaires spécialisés. A part Rommel, Göring, Dönitz, Manstein, aucun n'a fait l'objet de biographies écrites ou traduites dans notre langue. Cet album n'a pas la prétention de combler ce vide historiographique, mais simplement, et pour la première fois en langue française, de livrer les biographies ces vingt-huit maréchaux, connus ou inconnus, mais tous chefs de guerre et acteurs incontournables du second conflit mondial. Avec près de trois cents images, photos d'archives mais aussi objets personnels ayant appartenus à ces maréchaux, cet album offre une synthèse sur les grands chefs de la Wehrmacht, de sa renaissance au milieu des années trente à son écroulement en 1945.
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La légion étrangère, 180 ans au service de la France
Youri Obraztsov
- Etai
- 4 Novembre 2011
- 9782726895832
La Légion étrangère représente un mythe, celui du courage, de la valeur des combattants, du professionnalisme de militaires rompus aux plus hauts défis. 2011 est l'année de l'anniversaire des 180 ans de la création de la Légion étrangère au service de la France. Pour fêter cet événement, Youri Obraztsov a réuni de nombreux photographes de renom, dont Jean-Marc Tanguy, Thomas Goisque et Yves Debay ainsi que de nombreux photographes légionnaires qui ont produit des images prises dans le feu de l'action, au coeur même de la Légion. Ce nouvel ouvrage, par l'impact de ses très belles photographies deviendra une référence intemporelle faisant honneur à la France et à ses armées et dépassera largement en intensité l'événement de la commémoration du 180e anniversaire. Les images seront accompagnées d'un texte concis et poignant évoquant la situation et l'esprit de la Légion aujourd'hui.
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Après les femmes de «l'armée de Gaulle» et celles de l'armée de libération, ce tome 2 de Femmes en guerre s'attaque au vaste sujet que représente les civiles en uniforme pendant la Seconde Guerre mondiale : infirmières, conductrices... ou collaborationnistes. Quels furent leur action, leurs objectifs et leurs uniformes ? Il est temps de comprendre ce que fut l'engagement réel des Françaises pendant la guerre.
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Secret défense ; histoire du renseignement militaire français
Constantin Parvulesco
- Etai
- 1 Février 2007
- 9782726886953
Accédez aux archives secrètes des services de renseignement militaires français. Des grandes heures de la monarchie à nos jours, de nombreux documents inédits et anecdotes vous font découvrir les techniques et enjeux du renseignement militaire.
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Nos grands pilotes français réunit tous les grands pilotes français s'étant illustrés, depuis le début du XXe siècle jusqu'à aujourd'hui, en Grand Prix, en Formule 1, en Endurance, dans les courses de tourisme ou les épreuves américaines... En cinquante portraits, allantde Boillot à Grosjean -en passant par Benoist, Chiron, Wimille, Trintignant, Behra, Beltoise, Pescarolo, Cevert, Depailler, Laffite, Prost ou Alesi -, l'auteur retrace non seulement en détail des parcours riches en victoires mais parvient aussi, grâce à de nombreuses anecdotes, à lever le voile sur les personnalités de ces champions, des personnages étonnants, souvent fascinants et toujours attachants.
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Les mines : armes des faibles ou armes des lâches ? Le débat reste entier et le sujet méritait bien que Pierre Dufour, spécialiste d'histoire militaire, y consacre un ouvrage. Face à la mobilisation internationale, il semblerait que la raison l'ait enfin emporté depuis la Convention d'Ottawa en 1997 et l'interdiction de produire et d'employer des mines antipersonnel. Seules les mines antichars sont encore tolérées. Mais bien des grands pays comme les États-Unis, la Chine, la Russie et quelques autres ont refusé de signer ce texte au nom de leur sécurité. Mais les mines n'ont jamais empêché la progression d'une armée déterminée. Elles ont pu tout au plus la retarder. Largement présentes dans les conflits internationaux (Vietnam, Cambodge, Afghanistan) aussi bien qu'internes (Liban, Balkans) de la deuxième partie du xxe siècle, les mines constituent une menace permanente et odieuse pour la population civile longtemps après le conflit. Personne ne se souciant évidemment de les relever ! De même, les engins non explosés, et en particulier les sous-munitions, continuent à faire des ravages dans le monde entier (Liban, bande de Gaza, Irak) après la cessation des hostilités. À cette menace silencieuse, il faut maintenant ajouter, en particulier en Afghanistan, les engins explosifs improvisés (EEI), en clair la bombe des anarchistes de la fin du XIXe siècle remise au goût du jour par les terroristes de tous poils.
Dans cet album sans concession, après un bref rappel historique, Pierre Dufour a dressé un état des lieux, n'hésitant pas à provoquer l'indignation du lecteur par le choc des témoignages et des images. Les mines et leurs dérivés sont intolérables ; grâce à ses admirables unités du génie, qui font référence dans le monde entier, grâce à ses ONG, la France s'est délibérément investie dans ce combat contre l'horreur.
L'auteur :
Pierre DUFOUR, est titulaire d'une licence de lettres modernes. Stagiaire à l'AFP, il abandonne un prometteuse carrière journaliste et s'engage dans la légion étrangère en 1972 où il y reste 16 ans. De retour en France il participe à plusieurs missions en Afrique puis il est affecté au journal Képi blanc comme rédacteur puis chef du secrétariat de rédaction. Il prend sa retraite en 1988 et se lance dans la production littéraire et est l'auteur chez différents éditeurs d'une cinquantaine d'ouvrages sur l'histoire militaire. Il a signé chez ETAI : l'Histoire des Écoles de Santé, Les Offensives meurtrières de 1915, La France au Tchad.
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Le service militaire n'existe plus, définitivement rayé de nos grandes institutions nationales depuis la fin du siècle dernier.
Avec lui disparaît tout un pan de nos traditions, de notre folklore et de nos mythes nationaux. Souvent critiqué et combattu, encore plus souvent subi, mais ô combien profondément enraciné dans nos fibres républicaines, puisque fruit de la Révolution, te service militaire a connu au cours de son histoire maints remaniements et maints visages. Pour des générations de jeunes hommes, il symbolise le rite initiatique qui accompagne la transition de l'adolescence à l'âge adulte.
De ses origines avec les milices royales, en passant par les levées en masse des guerres de la République et la conscription impériale, cet ouvrage évoque les différents aspects et évolutions du service militaire de sa création à sa suppression sous la Ve République au travers de plus de deux cents documents et photos qui illustrent près de trois siècles de notre histoire nationale.
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« Un hussard qui n'est pas mort à trente ans est un jean F. », affirmait péremptoirement le général Lasalle un des plus célèbres sabreurs de la Grande Armée. C'est à la découverte de ces cavaliers de légende venus des confins d'Europe centrale que nous entraîne Pierre Dufour. L'armée royale les découvre à l'orée du XVIIIe siècle et le maréchal de Luxembourg voit rapidement le profit qu'il peut tirer de cette cavalerie légère audacieuse. Sous le commandement de nobles hongrois : Rattsky, Bercheny, Esterhatzy. les « houzards » hongrois et allemands, vêtus de façon « barbare », auxquels se mêlent peu à peu des Français au gré des créations de régiments multiplient les exploits durant les guerres de Louis XV. Avec la révolution française débute la période la plus prestigieuse de l'histoire des hussards. De 1792 à 1815, vêtus d'uniformes rutilants, chamarrés d'or et d'argent, ils parcourent l'Europe entière avec les armées de la Révolution, puis la Grande Armée. Ils se couvrent de gloire par des exploits insensés comme la prise de la flotte hollandaise au Texel, à Jemmapes, à Valmy, à Hohenlinden, puis en Italie sous les ordres de Bonaparte. Avec l'Empereur, ils sont vainqueurs à Austerlitz, à Iéna et Auerstaedt, renversent la situation à Eylau par une charge épique. Prenant une part importante à Friedland et Wagram, ils souffrent en Espagne, se sacrifient en Russie et à Leipzig, et écrivent de vaines pages de gloire pendant la campagne de France en 1814 et à Waterloo. Les hussards survivent à l'Empire et, de 1823 et l'expédition d'Espagne à la charge de la division Marguerite à Sedan en 1870, ils sont encore au rendez-vous de l'histoire en Afrique du Nord, en Italie, et durant la guerre franco-allemande. Mais la révolution industrielle marque le déclin de la cavalerie traditionnelle et de ses cavaliers splendides qui rejoignent les musées de l'histoire aux Invalides ou à l'Empéri de Salon-de-Provence. Ayant compté jusqu'à quatorze formations, par une évolution dont l'histoire a le secret, les voici revenus à quatre régiments et bientôt trois après la dissolution du 4e GEH : ceux qui, sous l'ancien régime, furent à l'origine de l'épopée : Bercheny, Chamborant, Conflans, Esterhazy. Mais si les hussards de l'époque actuelle ont sacrifié leur splendeur napoléonienne et leurs chevaux au progrès technologique et à l'anonymat des tenues camouflées, plus que jamais, ils sont en pointe de la cavalerie légère blindée. Présents sur tous les théâtres d'opérations en Afrique noire, au Proche et au Moyen-Orient, dans les Balkans, en Afghanistan, le 1er régiment de hussards parachutistes, les 2e et 3e régiments de hussards et le 4e groupe d'escadrons de hussards perpétuent les traditions d'excellence des « houzards ».
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Mise sur pied en 1943, la 2e division blindée du général Leclerc est dotée de trois régiments de chars qui vont en constituer le fer de lance : le 501e régiment de chars de combat, le 12e régiment de chasseurs d'Afrique et le 12erégiment de cuirassiers. Cet ouvrage retrace leur histoire à travers de nombreux témoignages pour la plupart inédits. Il est illustré par plus de 300 photos, 23 profils en couleurs et 8 cartes.
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De la terre à la lune ; la conquête spatale américaine de Mercury à Apollo
Antony Angrand
- Etai
- 9 Septembre 2010
- 9782726889923
Comment la Nasa a réussi ce pari insensé que fut celui de faire marcher un homme sur la lune avant la décennie 1970 ? Pourquoi est-ce que les Russes devancèrent les Américains lors des premiers pas de la conquête spatiale ? Comment les Etats-Unis ont-ils comblé leur retard technologique ? Quelles sont les origines des premiers lanceurs employés aussi bien en URSS qu'aux Etats-Unis ? Saviez-vous que le programme Apollo devait succéder au programme Mercury sans passer par le programme Gemini ? C'est ce que cet ouvrage, à l'aide de plus de 300 photos, d'encadrés et de dessins, va vous expliquer. Si la conquête de l'espace reste encore aujourd'hui une entreprise voulue comme étant pacifique, elle a réellement débuté avec la fin de la seconde guerre mondiale et la confrontation du bloc de l'Est et celui de l'Ouest, sur les ruines de l'Allemagne nazie et du premier programme de missiles balistiques de l'histoire. Les scientifiques allemands furent éparpillés entre l'URSS et les États-Unis. Pères de la première génération de lanceurs, qui permirent les premiers sauts de puce dans l'espace, certains, tel Von Braun, poursuivirent la quête de la réalisation de leurs rêves, envoyer un homme sur la Lune. Si Korolev eut beaucoup de mal à convaincre le pouvoir politique soviétique de le laisser tenter l'envoi d'un satellite dans l'espace, la réussite de la mise en orbite de Spoutnik 1, puis le vol de Youri Gagarine firent basculer le monde dans une course technologique, une aventure humaine sans précédent. Les Etats-Unis n'étaient absolument pas préparés à l'exploration spatiale, en dépit des multiples avertissements et mises en garde de différents spécialistes. Au commencement de l'aventure spatiale, ils furent battus à plates coutures par les Russes, avant de les rattraper petit à petit, en passant des séjours de plus en plus longs en orbite, puis d'opérer des rendez-vous spatiaux en orbite, et de commencer à s'approcher de la Lune. C'est cette aventure technologique, humaine et aérospatiale qui est narrée dans cet ouvrage, avec force de détails, photos et dessins, qui permet de mieux cerner l'extraordinaire valeur de cet exploit, ce pari insensé, encore inégalé de nos jours.
L'auteur :
Antony Angrand est un journaliste spécialisé dans le domaine aérospatial. Après avoir suivi une formation de technicien dans le domaine de la mécanique, il est revenu à ses premiers amours, l'aviation et l'astronautique. Son diplôme de journaliste en poche, il s'est tourné vers les rédactions de différents magazines. Il a ainsi travaillé pour les revues Air & Cosmos, Aviation Design, Planet Aerospace, Volez, avant de devenir rédacteur en chef d'Ailes Magazine, d'Aviation Actu puis de Vol à Voile. Sa connaissance du monde aérospatial l'a conduit à écrire des ouvrages et à traduire et adapter différentes publications anglo-saxonnes en langue française.
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La bataille d'Angleterre ; hommage aux héros
Pierre-alain Antoine
- Etai
- 9 Septembre 2010
- 9782726894781
La Bataille d'Angleterre fut la première bataille entièrement livrée par les forces aériennes depuis l'essor de l'aviation trente ans plus tôt. Les Spitfire et les Hurricane en furent les rois. Elle mit en jeu un nombre très limité de combattants - trois mille de chaque côté - et elle fut aussi la première défaite du IIIe Reich.
Plusieurs raisons à cela : la préparation hasardeuse de l'invasion de l'Angleterre ainsi que l'assurance démesurée de Goering en la victoire et les changements incessants de stratégie des dirigeants allemands. Egalement, l'inflexibilité de Churchill, l'avènement du radar dans le dispositif du Fighter Command et la ténacité indomptable des pilotes de la Royal Air Force firent le reste. L'organisation calculée mise en place par l'Air Chief Marshal Dowding pour préserver la supériorité aérienne du territoire britannique reste le fondement de toute organisation actuelle de ce type.
Les Britanniques célèbrent en 2010 le 70e anniversaire de la Bataille d'Angleterre en mettant à l'honneur les « Few », comme les appelait Winston Churchill. Il reste aujourd'hui une petite centaine de survivants à travers le monde.
«Never in the field of human conflict was so much owed by so many to so Few» « Jamais dans l'Histoire des guerres, un si grand nombre d'hommes n'a dû autant à si peu », Winston Churchill, Premier Ministre, discours du 20 août 1940, à la Chambre des Communes.
L'auteur :
L'auteur, Pierre-Alain ANTOINE, ancien pilote de chasse dans l'armée de l'air - plus de 6 200 heures de vol -, a toujours eu une passion pour cet épisode de l'Histoire aérienne et de l'Histoire tout court. Ancien directeur de la Patrouille de France, officier de réserve, conférencier et commentateur des meetings nationaux depuis de nombreuses années, il choisit toujours d'expliquer les faits par l'Histoire.
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Créée en 1802 par Bonaparte, la Légion d'honneur est toujours un objet de convoitise plus de deux cents ans plus tard. Ce livre aborde les aspects historiques et l'utilisation politique de ce «hochet» et sa portée sociale au travers d'exemples. Préfacé par le général de corps d'armée (2e section) Jean Salvan, grand officier de la Légion d'honneur, il s'adresse autant aux collectionneurs qu'aux amateurs de joaillerie et d'histoire.