Pygmalion
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12 couturières qui ont changé l'histoire
Bertrand Meyer-Stabley
- Pygmalion
- 19 Avril 2013
- 9782756407784
En habillant leur époque, 12 couturières ont écrit, chacune, une page d'Histoire. Plus qu'une griffe, elles ont laissé une marque et leurs noms sont inscrits à jamais dans les mémoires : Rose Bertin (la couturière de la reine Marie-Antoinette), Jeanne Paquin, Jeanne Lanvin, Madeleine Vionnet, Coco Chanel, Elsa Schiaparelli, Nina Ricci, Madame Grès, Carven, Sonia Rykiel, Vivienne Westwood, Miuccia Prada. Modiste royale, couturières de génie, stylistes emblématiques... chacune à sa manière, arbitre de la mode, a trouvé le droit fil et s'est jouée des coups d'épingles du destin. Pionnières, combatives, elles ont alimenté les passions, imposé des codes vestimentaires, brisé des tabous. Leurs vies constituent un défilé de drames, de rivalités et de passions.
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Marie Leszczynska ; épouse de Louis XV
Anne Muratori-Philip
- Pygmalion
- Souverains Et Souveraines De France
- 13 Février 2010
- 9782756401706
Dans l'histoire de la France, les femmes, et avant tout les reines, ont souvent régné sur le coeur et l'esprit de leur peuple, bien qu'elles n'aient pas toujours exercé le pouvoir.
Pendant quinze siècles, certaines ont joué un rôle prépondérant en se montrant plus lucides, plus préoccupées du bonheur de leurs sujets sinon plus attentives au rayonnement de la monarchi Si les rois ont fait la France, on peut dire que les rein l'ont sans doute aimée davantage. Le 5 septembre 1725, Louis XV épouse Marie Leszczynska. Pour cette princesse inconnue, fille du roi de Pologne en exil, Stanislas Ier, ce mariage inattendu est un cadeau du destin.
La gentillesse de la charmante Polonaise et l'amour du jeune roi balaient les préjugés. Mais le conte de fées ne dure qu'une dizaine d'années, le temps de donner naissance à huit filles et à deux garçons, dont l'un meurt en bas âge. Puis le " Bien-Aimé " se met à collectionner les favorites. La reine, tout en se tenant à l'écart de la politique, continue d'assumer ses tâches avec dignité et dévoile son vrai visage qu'Anne Muratori-Philip révèle ici dans tout son éclat.
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Anne de Kiev ; une reine de France venue d'Ukraine
Philippe Delorme
- Pygmalion
- Souverains Et Souveraines De France
- 15 Avril 2015
- 9782756414898
Au XIe siècle, alors que débute le schisme entre les Eglises d'Orient et d'Occident, Henri Ier de France épouse Anne de Kiev. Cette dernière n'a laissé aucune trace dans les chroniques slaves et n'apparaît qu'en filigrane dans les archives françaises. L'ouvrage redonne toute son importance à cette reine mystérieuse.
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Madame Elisabeth ; soeur martyre de Louis XVI
Monique de Huertas
- Pygmalion
- Les Grandes Dames De L'histoire
- 21 Septembre 2009
- 9782756402826
Soeur de Louis XVI, de Louis XVIII et de Charles X, Madame Élisabeth a-t-elle été un ange ? Certains ont pu le croire en assistant à sa mort édifiante sur l'échafaud, en 1794.
Contrairement à ce qu'on a pu dire, elle ne fut pas du tout une princesse effacée, mais au contraire une femme de caractère, perspicace et courageuse. Monique de Huertas en propose un émouvant et fidèle portrait et convainc sans peine de son intelligence vive et sensible, de sa générosité, de sa piété, de sa foi profonde. S'informant de tout, lisant presque en cachette libelles et brochures, Aladame Élisabeth suivit de très près les faits et les événements de son époque.
Ses réflexions, nourries de bon sens et de raison, fusaient à l'improviste, prenant souvent son entourage au dépourvu. Aux heures les plus tragiques, lucide mais impuissante, pas un instant elle n'envisagea d'abandonner le malheureux Louis XVI, même lorsqu'elle releva avec douleur ses erreurs politiques, même lorsqu'elle comprit que le destin funeste des Bourbons était scellé. Fidèle jusqu'à son dernier souffle, digne, intrépide, elle marcha au sacrifice sans jamais faiblir.
Comment ne pas admirer et aimer cette princesse royale si injustement occultée par l'histoire ?
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Marie Mancini ; le premier amour de Louis XIV
Françoise Mallet-Joris
- Pygmalion
- Les Grandes Dames De L'histoire
- 20 Février 2010
- 9782756403069
Marie Mancini fut-elle une intrigante, le jouet des visées égoïstes de son oncle Mazarin, ou l'objet d'un amour sincère de la part du jeune Roi-Soleil ? Pour l'histoire, ce destin éphémère et tumultueux, aux incidences politiques incertaines, reste un épisode mal élucidé de la vie sentimentale de Louis XIV. À l'aube du règne, la rencontre fortuite du jeune roi et de la nièce du cardinal, Italienne sensible, tourmentée et fière, se révèle le prélude à plusieurs années d'intrigues et à une passion brisée par la raison d'État. Pour Marie, éloignée de la Cour, à jamais déchirée par l'abandon du roi qui lui avait promis le mariage, commence alors une cruelle et incessante errance : une vie de souffrances en dépit du bref et brûlant intermède d'un fol amour qu'elle éprouve pour un noble italien devenu son mari, mais que bientôt elle rejette et fuit, irrémédiablement déçue. Plus que jamais frondeuse et solitaire, esclave de ses chimères, très longtemps menacée du couvent ou de l'emprisonnement, elle va poursuivre ses pérégrinations à travers l'Europe jusqu'à sa mort en Italie. C'est ce périple tortueux et pathétique, mais aussi le bouleversant voyage intérieur d'une femme dévorée par l'amour et l'ambition trahie, que fait revivre Françoise Mallet-Joris avec une sobriété et un pouvoir d'évocation exemplaires.
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Jacques Coeur ; trésorier de Charles VII (édition 2010)
Georges Bordonove
- Pygmalion
- 18 Septembre 2010
- 9782756403892
Marchand armateur, banquier, industriel, maître de mines, Jacques Coeur, né à Bourges vers 139, fut investi des plus hautes charges publiques. Commissaire royal et grand argentier, il restaura le commerce français après la Guerre de Cent Ans et rétablit les échanges avec l'Orient. Créateur avant la lettre des sociétés multinationales et des entreprises à succursales multiples, il réussit à stopper la dévaluation de la monnaie, s'efforçant en même temps d'instaurer une justice fiscale. Génial administrateur doublé d'un inégalable esprit d'entreprise, mécène, constructeur (son palais de Bourges est le plus beau monument civil de l'époque), il fut couvert d'honneurs et passa pour l'homme le plus riche du royaume. Arrêté sous un prétexte futile, il fut condamné, au terme d'un simulacre de procès, à une énorme amende, à la confiscation de tous ses biens et au bannissement transformé par ordre du roi, Charles VII, en emprisonnement. Sa chute brutale, sa captivité aggravée de tortures, son extraordinaire évasion et sa mort lointaine ajoutent une touche tragique à sa destinée prodigieuse, non sans étroite similitude avec celle que connut, quelque deux siècles plus tard, l'infortuné Foucquet.
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Vrai fondateur de sa dynastie, il est le premier roi de France digne de ce nom, l'un des plus grands qui ont occupé le trône. Son extraordinaire personnalité émergeant du puzzle féodal domine une époque de mutations profondes. Parti de rien, il parvint à disloquer le puissant empire des Plantagenêts, à triompher de la coalition européenne à Bouvines et à transformer sa petite principauté d'Ile de France en Royaume de France ! Il créa de toutes pièces une vaste monarchie féodale, une administration, une armée. Politique et guerrier au milieu de paladins tels que Richard Coeur de Lion, chevalier et homme d'Etat passionné de pouvoir, ambitieux sans chimères, rigoureux sans cruauté, diplomate subtil, habile à discerner les priorités, novateur mais pondéré, sa gloire et sa grandeur sont les seuls fruits de son mérite. Sans lui l'admirable XIII siècle, le siècle de Saint Louis, n'eût pas été possible.
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Les Guises, qui régnèrent longtemps en maîtres sur les affaires politiques de la France, connurent une ascension foudroyante sous le règne d´Henri II et devinrent tout-puissants sous celui de François II. Ils se rendirent célèbres en se faisant les champions de la cause catholique et en déclenchant la première guerre de Religion.
Leur illustre maison était originaire de Lorraine et se déclarait issue de Charlemagne. Le plus célèbre de ses princes, Henri le Balafré, paya de sa personne ses prétentions à la couronne : il mourut assassiné à Blois sur ordre d´Henri III. L´aventure des Guises ne s´acheva pas sur ce fameux épisode ni sur l´avènement de leur nièce et cousine Marie Stuart au trône d´Écosse puis de France.
Elle se poursuivit avec ceux que leurs contemporains nommèrent « les petits Guises » : Charles, amiral du Levant, héros du siège de La Rochelle ; Henri II, impliqué dans plusieurs complots contre Mazarin, proclamé roi de Naples ; Marie, mécène du compositeur Marc-Antoine Charpentier.
Autour du rameau principal, gravitèrent encore d´innombrables rejetons : les cardinaux Jean et Charles de Lorraine, fins esthètes, qui jouèrent un rôle considérable dans la lutte impitoyable contre les protestants.
Henri Pigaillem retrace avec brio la saga de cette dynastie princière, avide de pouvoir et d´honneurs.
Couverture : Prise de Calais par le duc de Guise le 9 janvier 1558, par Pigot, huile sur toile, XIXe siècle © AKG-Images / De Agostini Pict.Lib.
L'édition originale de cet ouvrage contient un cahier photos hors-textes de 8 pages en couleurs, non repris dans la présente édition numérique.
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Catherine de Médicis ; épouse d'Henri II
Jean-pierre Poirier
- Pygmalion
- Souverains Et Souveraines De France
- 21 Septembre 2009
- 9782756402185
Dans l'histoire de la France, les femmes, et avant tout les reines, ont souvent régné sur le coeur et l'esprit de leur peuple, bien qu'elles n'aient pas toujours.
Exercé le pouvoir. Pendant quinze siècles, certaines ont joué un rôle prépondérant en se montrant plus lucides, plus préoccupées du bonheur de leurs sujets, sinon plus attentives au rayonnement de la monarchie. Si les rois ont fait la France, on peut dire que les reines l'ont sans doute aimée davantage. Héritière des Médicis, belle-fille de François II, épouse d'Henri H, mère de François II, de Charles IX et d'Henri III, elle tient pendant trente ans la barre de l'État, dont quatorze de pouvoir absolu.
Confrontée à huit guerres de religion, aux luttes des Guise et des Bourbons pour s'arroger le pouvoir, aux interventions de l'Espagne et de l'Angleterre, elle se bat avec un courage admirable contre tous les facteurs de désintégration. Mais, on ne peut laisser dans l'ombre ses fautes - dont la Saint-Barthélemy au premier rang - ni ses erreurs politiques, sa méconnaissance des thèses économiques des premiers mercantilistes, ses dépenses inconsidérées et ses guerres.
Jean-Pierre Poirier signe ici une biographie magistrale qui remet en lumière la grandeur et les lacunes d'une reine hors pair.
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Du conte de fées à la tragédie, ces figures belles et rebelles, coeurs solitaires et âmes exaltées, ont inscrit à jamais leurs petites histoires dans la grande Histoire. Elles ont connu les affres de la solitude et le besoin impérieux d'être authentiquement aimées. Elles semblèrent comblées mais luttèrent âprement pour préserver leur liberté. Quelles femmes se cachèrent derrière le masque officiel offert à la face du monde ? Et pourquoi la fatalité s'acharna-t-elle sur elles tout au long de leur vie pour finir par les tuer brutalement ?
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La vie d'Henri IV est pareille à ces gaves pyrénéens qui l'ont vu naître. Parti de son petit royaume de Navarre et de sa principauté de Béarn, va s'accomplir en lui la prophétie de Nostradamus. Roi sans couronne, sans femme, sans argent, il a réussi à conquérir son royaume pièce par pièce, à mettre fin aux guerres de religion, etc. Il reste le plus populaire des rois de France.
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Célébrée dans le monde entier comme la plus grande peintre animalière de son temps, Rosa Bonheur (1822-1899) fut la première artiste à recevoir la croix de la Légion d'honneur, grâce à l'impératrice Eugénie, et la première femme à recevoir la rosette, grâce au président de la République, Sadi Carnot.
Dans un siècle qui considérait les femmes comme des mineures ou des incapables en Droit et en capacités, les assujettissant à un père ou à un mari, leur interdisant l'accès au savoir et à toutes formes de pouvoir y compris celui de gagner décemment leur vie, Rosa Bonheur se jura de « relever la femme ».
Cette promesse, l'enfant la forgea en mémoire de sa mère, morte d'épuisement et de misère après avoir été « abandonnée » avec quatre enfants par son mari, parti vivre avec les saintsimoniens « pour le bien de l'humanité ».
Grâce à son talent de professeur de dessin, ce même homme, Raimond Bonheur, permit à sa fille de devenir une peintre acclamée.
Composée à partir de journaux, de correspondances inédites, de témoignages laissés par les proches de Rosa Bonheur, cette biographie est la première à faire entendre au plus près la voix de l'artiste avec sa véritable personnalité, jusqu'ici souvent masquée par des témoignages approximatifs.
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Si la figure d'Hérode le Grand et celle de son fils, Hérode Antipas, sont aujourd'hui connues du grand public, c'est grâce aux Évangiles. On retient le plus souvent d'Hérode qu'il est le méchant roi qui, après avoir reçu les mages, tenta de tuer Jésus en ordonnant le massacre des Innocents ;
Et de son fils, qu'il fit décapiter Jean- Baptiste pour tenir une promesse faite à sa nièce, Salomé, après qu'elle eut dansé devant lui. Mais qu'en fut-il en réalité ?
Confrontant les diverses sources, de Flavius Josèphe aux Évangiles en passant par les découvertes archéologiques, l'auteur tente de cerner les personnalités complexes d'Hérode le Grand, de ses fils et petits-fils, indissociables du contexte religieux, politique et culturel d'une Judée où se multiplient les conflits de tous ordres : Hérode le Grand a-t-il été un roi juif ?
Est-il coupable du massacre des Innocents ? La danse de Salomé a-t-elle eu lieu ? Que sait-on de la passion malheureuse qu'éprouva le futur empereur romain Titus pour Bérénice, la reine juive ?
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Clotilde, épouse de Clovis
Anne Bernet
- Pygmalion
- Souverains Et Souveraines De France
- 6 Novembre 2013
- 9782756411477
Quelle place, dans la Gaule du Ve siècle finissant, une princesse pouvait-elle tenir ? Aucune, en principe, dans un univers entièrement dominé par la violence et la sauvagerie des hommes... Lorsque, à vingt ans, Clotilde, princesse burgonde et catholique, épargnée dans son enfance lors de l'assassinat de ses parents, accepte d'épouser le jeune roi païen des Francs, Clovis, elle est destinée à devenir le pion docile d'une vaste stratégie diplomatique où des souverains barbares ambitionnent de se tailler des royaumes. Mais elle refuse de jouer ce rôle. Restée fidèle au catholicisme, elle devient l'alliée de l'Église et conduit, malgré les épreuves, son époux à la foi de Rome, décidant ainsi du destin de la France. Veuve à trente-cinq ans, elle est confrontée aux haines, rivalités et meurtres qui minent sa famille. Elle se retire dans un monastère de Tours où elle finit sa vie, en 545, dépouillée de toute vanité terrestre.
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Richelieu ou la quête d'Europe
Marie-catherine Vignal souleyreau
- Pygmalion
- 1 Septembre 2008
- 9782756402147
Richelieu est passionnant, tout à la fois homme d'Etat et homme d'Eglise, gentilhomme et cardinal, théologien et inspirateur de très violents pamphlets. Sa carrière, à la fois politique et religieuse, fut exceptionnelle. Bien qu'il gouvernât la France, il n'en reste pas moins un être méconnu, dont les initiatives ont souvent été sources de méprise. Au fil de ce récit apparaît une personnalité hors du commun, qui, toute sa vie, oeuvra à la grandeur de Louis XIII et à celle du royaume. Il fut l'initiateur passionné d'une Europe composée de pays souverains qu'il rêva d'unir dans la foi catholique. Entre tradition et modernité, il mit tout en oeuvre pour faire de la France un Etat puissant. Le prélat guerrier a connu la victoire à La Rochelle, et ailleurs encore, mais aussi de cinglants revers, comme en Lorraine. Ses succès sont primordiaux et influencent encore l'histoire de France. Mais Richelieu a aussi connu les échecs. Hanté par le doute, il a laissé un héritage à la fois immense et fragile, et s'est ingénié, toute sa vie, à justifier ses décisions. Les passions de tout ordre, et avant tout l'amour de Dieu et de la cause royale, gouvernèrent sa vie. Plus qu'un ministre prestigieux entré dans l'Histoire, il apparaît ici comme un véritable personnage de légende.
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Louis XI ; 1461-1483 ; fils de Charles VII
Georges Bordonove
- Pygmalion
- Souverains Et Souveraines De France
- 17 Mars 2008
- 9782756402031
Après avoir été un dauphin rebelle, hostile à la politique de charles vii, son père, louis xl monta sur le trône à trente-huit ans.
Faisant preuve des plus remarquables qualités d'homme d'état, il sut achever la guerre de cent ans, triompher de charles le téméraire sans combattre et abattre la puissante maison de bourgogne. avec lui, la monarchie prit un nouveau relief, l'hexagone ses limites quasi définitives. personnalité contrastée et subtile, machiavélique mais injustement calomniée, louis xl domina son temps. diplomate, soldat, économiste, administrateur hors pair, il fut surtout un précurseur.
N'ayant pensé, tout au long de son règne, qu'à tracer pour la france les routes de l'avenir, il occupe, dans la galerie de nos rois, une place inégalée et prestigieuse.
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Un roi, un héros et un saint, <
> selon le juriste Beaumanoir, tel apparaît Louis IX, en ce XIIIe siècle où le rayonnement de la France parvint à son zénith. Rassembleur d'hommes de bonne volonté, habile à concilier les extrêmes, passionné pour le bien public, il s'efforçait en toutes circonstances de moraliser la politique. Guerrier intrépide, mais encore meilleur diplomate, son adresse et son équité firent de lui l'arbitre de l'Europe. Mystique, assez ardent pour réveiller l'esprit de croisade, il résistait vigoureusement aux papes et aux évêques si l'intérêt de l'Etat était en jeu. Par amour pour son peuple, il fut aussi un législateur et un réformateur hors de pair. < a dit Chateaubriand, on ne sait lequel le plus admirer du chevalier, du clerc, du patriarche, du roi ou de l'homme. Placé au rang des saints, il devint pour la patrie une espèce de roi éternel.>>
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Il fut le roi des gentilshommes et le plus gentilhomme de nos rois. Sa cour inspira Mme de Lafayette dans la Princesse de Clèves ; elle fut la plus brillante d'Europe ; sa splendeur préfigure celle du Roi-Soleil. Rien ne manque pour faire de la vie d'Henri II un véritable roman : ni l'enfance emprisonnée, ni la jeunesse humiliée, ni la passion amoureuse (Diane de Poitiers) opposée à la raison d'Etat (Catherine de Médecis), ni la fortune des batailles, ni les fêtes somptueuses, ni une mort imprévisible. Son règne commença par un duel (le coup de Jarnac), et s'acheva par le tragique tournoi de la rue Saint-Antoine. Mais ce monarque réaliste, tenace, parfois même implacable, sut agrandir la France des Trois Evêchés et de Calais, renoncer aussi aux chimères d'Italie. Sa mort donna le signal des guerres de Religion. «Reste à avoir bon coeur et à ne s'étonner de rien», disait-il, impassible. Ce roi, dont la grandeur fut justement vantée par du Bellay et par un peuple unanime, nous étonnera toujours.
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La destinée du "Ramsès des temps modernes", soldat de fortune, énergique et ambitieux, qui s'empara du pouvoir en 1805 et se fit reconnaître pacha d'Egypte par la Sublime Porte, chef de la famille qui régna sur l'Egypte jusqu'en 1952.
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Les Grandes Heures de l'Histoire de France : Napoléon
Georges Bordonove
- Pygmalion
- 17 Mars 1998
- 9782857045403
Le siège de Toulon ; Le pont d'Arcole ; Le soleil d'Austerlitz ; Les fastes de l'Empire ; La plaine de Waterloo ; L'île de Sainte-Hélène
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Les rois qui ont fait la France ; Charles VI, 1380-1422 ; fils de Charles V
Georges Bordonove
- Pygmalion
- Souverains Et Souveraines De France
- 22 Mai 2006
- 9782756400181
Roi à douze ans, Charles VI eut un des règnes les plus longs de notre Histoire. Marié en 1384 à Isabeau de Bavière, il se libéra bientôt de la tutelle de ses oncles et gouverna par lui-même. Tout annonçait une époque brillante. Mais la démence qui le frappa, en 1392, provoqua une impitoyable guerre entre Armagnacs et Bourguignons. Pendant les rémissions de sa maladie, il tenta en vain de rétablir la paix. La victoire d'Azincourt (1415), l'assassinat de Jean sans Peur à Montereau permirent à Henry V d'Angleterre d'hériter du royaume de France. Le roi fou n'était plus qu'un spectre couronné. Cependant, ce fut lui qui sauva l'unité de la France grâce à l'amour que lui vouait son peuple. Ce règne apocalyptique eût inspiré Shakespeare, s'il était né français.
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Henriette-anne d'angleterre ; belle-soeur de louis XIV
Christian Bouyer
- Pygmalion
- 15 Novembre 2006
- 9782756400020
Elle est morte à vingt-six ans dans l'éclat de sa jeunesse, comme si le mauvais sort s'acharnait sur la famille royale des Stuart dont elle est issue. Malgré sa vie brève, la belle-soeur de Louis XIV incarne dans les mémoires l'un des astres les plus brillants parus à la cour de France. C. Bouyer raconte ici son destin exceptionnel.