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Albiana
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La référence à l'Antiquité est permanente chez les Bonaparte et apparaît sous des formes très diverses : beaux-arts, architecture, peinture, sculpture et arts décoratifs, références littéraires et discours politique. Elle est le filigrane du destin de Napoléon et des Bonaparte en général.SommairePréface LAURENT MARCANGELIPréface ÉLISABETH CAUDEPréface ÉLISABETH PERIEUn langage impérial, des références communes à toute l'Europe J.-M. OLIVESIRêves de pierre (exposition du musée Fesch, Ajaccio, 2000). Collection des plâtres pédagogiques du muséeDe la bibliothèque nationale du Liamone à la bibliothèque municipale Fesch S. MAROSELLILes compatriotes des Bonaparte : qui sont les lecteurs de la bibliothèque ? S. MAROSELLILa culture des révolutionnaires paolistes (1755-1769). De la gloire plutarquéenne à la felicità pubblica E. MICELIDominique Vivant-Denon (Chalon-sur-Saône 1747 - Paris 1825). L'oeil de Napoléon F. MARDRUSLa gloire de l'Antique de Charlemagne aux Bonaparte : Rome n'est plus dans Rome, elle est toute à Paris J.-M. OLIVESIBeau comme l'Antique ! Les Antiques du Museon ArlatenCatalogue des oeuvres. Une exposition, trois séquences. Notices des ouvrages de la bibliothèque patrimoniale Fesch présentés dans l'exposition A. PONTALIERQuelques Antiques remarquables J.-M. OLIVESIOnt contribué à la rédaction de cet ouvrage :Jean-Marc OLIVESI Conservateur général du patrimoine, musée national de la Maison Bonaparte, commissaire de l'expositionFrançoise MARDRUSCheffe de service, responsable du centre Dominique-Vivant-Denon, direction de la recherche et des collectionsSaveria MAROSELLIMédiatrice culturelle du réseau des bibliothèques et des médiathèques de la ville d'AjaccioErick MICELIDoctorant en histoire moderneAude PONTALIERResponsable du fonds ancien de la Bibliothèque patrimoniale Fesch
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Avant-propos I - Un invincible été « La Coda » : 1969-1971 - « Enfin la paix sur cette stupide planète. » II - La « commedia » 1/ Enfance et adolescence : Marseille et Corse 1901-1920 Xavier, le père : un tyran éclairé - « Comme un singe savant !.. » Marius et Rimsky-Korsakov Une marraine, un Bâtonnier, un parfumeur : trois bienfaiteurs pour Henri Le dernier coup de nerf de boeuf.
2/ Etudes au CNSM de Paris : 1920 -1927 Sauvé de la prison militaire par Me Moro Giafferi 3/ Premiers succès d'une double carrière : 1928-1939 Noces corses Triton et Radio-Colonial Bilan de crise : embarquement sur un cargo pour Dakar III - L'amour 1/ Odette Camp : Madame Henri Tomasi « Neige des cerisiers, bonheur éphémère ».
2/ Maryse : Girolama « J'entrerai dans l'Ordre des dominicains. » « Du point de vue de la religion catholique. » « Grâces précieuses et relations charnelles : j'attends un enfant » IV - Quête religieuse et intuition mystique (1940-1944) Antinéa ou l'énigme de la destinée Requiem sans paradis « La musique à elle seule est l'autre monde » Déclaration d'athéisme, sensibilité panthéiste Don Juan de Mañara Requiem pour la Paix V - La révolte 1/ Une renommée européenne : 1945-1958 Les lauriers de maestro Chef invité du Concertgebouw « Extatique ».
Chostakovitch, Britten, Stravinsky, et pour la 3ème fois, La Bohême, déchirante.
La prééminence du compositeur Refus de la Légion d'Honneur : pour la Corse !
Une nouvelle inspiratrice Tomasi prophète à Munich Régine Crespin, la Vannina de Sampiero Corso Avec Philippe Soupault : « Vous avez brûlé une femme ! » Paris de l'eau et des arbres, des îles « En ce moment je liquide un passé musical ».
L'Atlantide au Palais-Garnier : forfait de Tcherina, sacre de Bessy Hommages de Paris : le Prix Musical de la Ville et une rue 2/ Renouveau créateur d'un témoin du 20è siècle : 1959-1970 Le Silence de la Mer : Vercors interdit à l'Opéra Comique Chausse-trappe : Paolina contre Mañara Avoir 20 ans dans les sixties L'illusion du « grand soir » de la Révolution en 1968 L'ensoleillement des amertumes et des ferveurs Surdité et silence(s).
« Faut-il qu'ils soient c. ces terriens » Ovations à Lisbonne, Marseille, Berlin-Est.
Lagoya interprète du Concerto de guitare à la mémoire de Lorca De La Question d'Alleg à L'Eloge de la Folie d'Erasme La Symphonie du Tiers-Monde inspirée par Aimé Césaire Un Chant pour le Vietnam dédié à Ho Chi Minh « Le grand vide, en pleine sérénité. » VI - Méditerranée, ma mère : utopie et défi de « Mare Nostrum » Un nageur de fond Une musique qui écoute, postface de Daniel Mesguich Annexes Témoignages : M. Mihalovici, H. Bonnefoy, H. Dutilleux, Vercors, E. Rosenthal, J. Van Dam, S. Baudo, D. Erlich; E. Tanguy Bibliographie et discographie Catalogue des oeuvres Index Remerciements Association Henri Tomasi Présentation du CD « Trois oeuvres humanistes » - Texte de Régis Campo
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La genese de napoleon - sa formation intellectuelle et morale jusqu au siege de toulon
Marcaggi J-B.
- Albiana
- 20 Septembre 2021
- 9782824111063
Napoléon, ses proches, son histoire avant l'Histoire... Une plongée au coeur des premières pages méconnues du « roman de la vie » du plus connu des personnages historiques contemporains.Cette biographie de Jean-Baptiste Marcaggi autour de la jeunesse de Napoléon Bonaparte avait été éditée en 1902. Elle demeurait depuis introuvable.
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L'étrange monsieur Giordani : Vie et oeuvre d'un armiurier ajaccien de la Belle Epoque
Jean-louis Leccia
- Albiana
- 25 Novembre 2024
- 9782824114316
La vie d'Émile Giordani semble en tous points celle d'un de ces personnages extraordinaires dont la Renaissance eut le secret : artiste talentueux et entrepreneur avisé, patriote fervent et Corse enraciné, sportif accompli et tireur émérite, armurier hors pair et collectionneur averti, pédagogue engagé et inventeur de génie, Émile Giordani, Ajaccien haut en couleur, nimbé de mystère, révèle assurément ici une personnalité hors du commun.
Seuls quelques collectionneurs érudits, chercheurs opiniâtres de pièces uniques, connaissaient à ce jour l'existence de ce maître coutelier renommé.
Sa biographie, fouillée et assortie d'une riche documentation, sera de nature à combler les amateurs d'armes corses, de tir sportif, d'uniformologie et de militaria. Elle séduira aussi les amoureux de la Corse, ceux d'Ajaccio en particulier. Les esthètes y découvriront des oeuvres d'art étonnantes. Les curieux qui se piquent de sciences occultes, de sociétés secrètes ou de traditions insulaires y trouveront aussi leur content de magie.
Car rien, vraiment rien, ne semblait étranger à l'étrange monsieur Giordani. -
Jean nicoli, de la colonie a la corse en resistance - l'itineraire d'un homme libre
& Arzalier Nicoli
- Albiana
- 1 Janvier 2003
- 9782846980760
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Théodore de Neuhoff, roi de Corse : Un aventurier européen du XVIIIe siècle
Antoine laurent Serpentini
- Albiana
- Bibliotheque D'histoire De La Corse
- 27 Janvier 2012
- 9782846984263
Le 5 avril 1736, Anton Francesco D'Angelo, le vice-consul de France en poste à Bastia, informe le ministre Maurepas de l'accostage, quelques jours auparavant à Aléria, d'un navire anglais que l'on dit avoir été armé par le consul d'Angleterre à Tunis.
A mis pied à terre un « Personnage » habillé à la longue d'un habit écarlate, portant épée, canne, perruque et chapeau.
Les chefs corses qui se sont déplacés pour le recevoir lui donnent le titre d'excellence et de roi de Corse.
Bientôt l'on apprendra qu'il s'agit de Théodore, baron de Neuhoff, qui se proclame par ailleurs lord anglais et Grand d'Espagne. Un rapport anonyme, rédigé courant d'août, le décrit comme un homme de bonne prestance, de haute stature et à l'embonpoint prononcé qui parle italien avec un fort accent allemand.
Dès les premiers jours, il ne cache pas son intention de ceindre la couronne de Corse, ce qui adviendra le 15 avril. Débute alors un règne éphémère de sept mois qui permit à la révolte des Corses contre les Génois de rebondir. Mais, bien plus que ce règne d'un été, encore mal connu, c'est la longue dérive qui suivit son exil et sa fin miséreuse qui enflammèrent l'imagination de ses contemporains. Les plumes acérées de Voltaire, du marquis d'Argens ou encore d'Horace Walpole sculptèrent définitivement ensuite la statue du roi Théodore. -
" Citoyen du ciel ! ", l'expression est de Pascal Paoli lui-même.
Il l'emploie de jolie et touchante façon dans une lettre à une amie, le jour anniversaire de ses soixante-dix-sept ans, alors qu'il vit, en exil, à Londres depuis de longues années : " Je ne dois plus penser qu'à l'autre monde et à me rendre digne d'être citoyen du ciel ". Ainsi, c'est jusqu'au firmament qu'il aime à envisager le citoyen. Certes, un trait d'esprit n'est pas une profession de foi. Cependant, ce qui, ici, ressemble à un clin d'oeil à l'existence, dit en fait la vocation d'une vie : faire société autour du bien commun.
Car telle est pour Pascal Paoli la teneur d'une vie vécue en dignité. Appréhender ce moment prodigieux de l'histoire de la Corse au regard de cette notion de citoyenneté, outre de mettre en résonance notre monde et le sien, donne à apprécier la fidélité d'un homme à son idéal, et ainsi d'estimer " l'authenticité d'une vie effective ". Les hommes ne valent que par les questions qu'ils se posent. Car c'est à partir d'elles qu'ils peuvent être conduits ou bien à faire la leçon, ou bien à faire leçon ! Dans cet essai, l'auteur interroge le sens de celles qui ne cessèrent d'habiter celui dont la forme et le sens de l'engagement pour son pays, amenèrent Voltaire à proclamer au coeur du siècle des Lumières : " Toute l'Europe est corse ! "
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Cette exposition se propose de retracer pour la première fois les rapports complexes de Napoléon avec son île natale. Plus de trois cent oeuvres et documents venus de Corse, du continent et de plusieurs pays d'Europe sont présentés. Quatre thèmes bien définis sont traités dans le parcours des différentes séquences de l'exposition.