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Fayard
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Sept jours sur le fleuve
Henry David Thoreau
- Fayard
- Litterature Etrangere
- 24 Octobre 2012
- 9782213671000
INEDIT Traduit de l'anglais (États-Unis) par Thierry Gillyboeuf Henry David Thoreau naît le 12 juillet 1817 à Concord, dans le Massachussetts. Il est le troisième fils d´un fabricant de crayons, l´entreprise paternelle a des difficultés, mais la vie familiale est harmonieuse. Son oncle l'initie aux expéditions dans la nature qui entoure la ville. Diplômé de Harvard, à l´âge de vingt ans, il renonce à enseigner dans l´école publique de sa ville natale et publie ses textes dans The Dial, sous l´influence d´Emerson, qu´il admire. Avec son frère, il décide à la fin de l'été 1840 de fabriquer un canoë et de faire un périple de sept jours sur les rivières Concord et de Merrimack. En 1842, Henry David perd son frère. À l´automne 1842, il entreprend d´exorciser son chagrin par l´écriture. Il se lance dans la rédaction de son premier livre. Il raconte leur expédition tranquille. Voyage intérieur autant qu´excursion fluviale, ce récit à la forme discursive porte en germe ce qui fera la particularité de Walden. Thoreau livre des réflexions sur la littérature et la philosophie, sur les Indiens et l´histoire puritaine de la Nouvelle-Angleterre, sur les écrits sacrés. Faute de trouver un éditeur, il ne cessera d´étoffer son récit, jusqu´à sa publication, à compte d´auteur, en 1849. Entre-temps (1845 à 1847), il aura vécu son expérience de « vie transcendantale dans la nature », dans une cabane près de Walden Pond. Le livre fut un échec commercial, mais l´écrivain Thoreau avait trouvé sa voix
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Sido est d?abord un volume qui réunit les souvenirs d?enfance de Colette. L?hommage à la mère de l?écrivain occupe la première partie, les deux autres sont dédiées au père : le Capitaine, et l?autre aux frères et soeurs : les sauvages. Pourtant ce titre est révélateur, il marque bien la place essentielle qu?occupait la mère dans la « maison de Claudine », dans le coeur du père, dans la vie des enfants, et, ici, dans le souvenir de la benjamine, l?écrivain. Sido fut accueilli en 1930 comme « le plus pieux monument qu?on éleva jamais à une mère » (Pierre Scize).
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L'un des plus extraordinaires romans d'anticipation de Jules Verne, visionnaire et prophétique, présenté ici dans la tradition des éditions Hetzel, c'est à dire dans une édition luxueuse et richement illustrée. De nombreux documents (textes, commentaires et iconographie) complètent cet ouvrage.
Co-édition Hachette / Le cherche midi éditeur
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L'oeuvre poétique de Virgile, qui vécut au tournant du premier siècle de notre ère en Italie, a traversé les siècles et fasciné les plus grands esprits de l'histoire. Comment expliquer cette longévité ? Outre le charme subtil et vibrant de sa langue, pourquoi ressentons-nous l'impression de nous ressourcer en lisant l'Enéide ou les Géorgiques ? Sans doute parce que Virgile est une vigie pour notre époque tourmentée, comme le démontre Xavier Darcos avec érudition, générosité et finesse.
En latiniste émérite, féru de poésie et connaisseur intime du monde antique, il nous donne à comprendre et à entendre cette oeuvre majeure aux échos sonores et actuels : vivre en harmonie dans une nature magnifiée, ancrer la paix dans un récit fédérateur, trouver le sacré autour de nous, exalter les vertus chez l'homme et notamment la fides, ce sens de la loyauté si capital dans le monde romain. En parcourant ce livre dense et alerte, on mesure à quel point lire Virgile aujourd'hui, loin d'être un passe-temps suranné, est sans doute un des moyens d'analyser les tumultes de notre temps et d'en percevoir les remèdes possibles.
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Phénomène lié à une société humaine, une littérature apparaoet puis, après quelques siècles, s'étiole et disparaoet. Les efforts d'innombrables philologues, depuis quatre siècles au moins, ont eu pour résultat de dégager une certaine image de la littérature latine. Il existe, sur chaque auteur, une vulgate, qu'il nous appartient de résumer ou d'exposer. Mais cela ne saurait nous dispenser d'apporter au moins quelques autres points de vue, en désaccord avec elle. C'est pourquoi l'on trouvera, le plus souvent possible, après les thèses traditionnelles et les idées reçues, des conceptions différentes, destinées à provoquer la recherche.