Petits-farcis. N'oubliez pas le trait d'union! Il ne s'agit pas des farcis niçois. Pourquoi ce néologisme? Que recouvre-t-il?
Les Anglo-Saxons parlent de turnover (dans le sens d'une pâte repliée autour d'une farce) ou de hot-pocket (« poche chaude ») mais les Français ne possèdent pas de mot particulier pour regrouper et définir ces nombreuses pâtisseries charcutières connues de par le monde sous des noms spécifiques (empanadas, bastelles, fatayers, tourtons, pirojkis, samoussas, etc.) - une lacune comblée avec petits-farcis, désignant tous les membres de cette famille nombreuse répartis sur les cinq continents.
Ces petits-farcis ont en commun d'être à base de pâte, de la plus simple aux plus complexes, modelable à la main, fine ou très fine, entourant une farce extrêmement variée, à base de viandes, de légumes, de fruits ou de fromages, salée ou sucrée.
Ils sont en demi-lune à bord festonné, triangulaires, ronds, carrés ou rectangulaires, parfois en forme de rouleaux ou de cigares, en aumônières ou même de formes extravagantes, parfaitement fermés ou légèrement entrouverts. Certains sont toujours liés à une sauce d'accompagnement, d'autres se dégustent nature, et tous peuvent être mangés à la main, chauds ou froids, en apéritif, en entrée ou en plat principal, en dessert, à la maison ou en pique-nique.
Avec ses 90 recettes de petits-farcis, leur histoire et leur préparation, ce Petit traité parcourt un nouveau monde culinaire à découvrir avec gourmandise!
Ce livre n'est pas un petit traité comme les autres car il se double d'une aventure personnelle. Il retrace la véridique histoire d'un homme marqué par son nom et qui n'a dû sa survie - ou presque - qu'à la noix.
Un homme que rien ne destinait à écrire sur la noix... sauf son nom ! Lequel l'a peu à peu conduit à devenir un bon connaisseur de la noix, qui emmène le lecteur sur son propre parcours et lui dévoile tout ce que lui-même a découvert sur la noix. En somme, un chemin d'initiation, débouchant curieusement sur une révélation aussi surprenante qu'inattendue.
Alexandre de Lanoix nous donne ici la rare occasion d'un ouvrage culinaire qui se lit comme un récit autobiographique - ou le contraire -, où les recettes voisinent avec Montaigne, Boileau, Hugo et autres références nationales, qui n'en reviendraient pas de se voir cités dans ce petit traité très atypique, au milieu de toutes les « noix » du monde, de la noix de chez nous aux noix d'Amérique, d'Afrique, d'Asie et d'ailleurs...
Un livre où se mêlent en souriant botanique, étymologie et gastronomie, à savourer lentement de la première ligne de la dédicace à la dernière des remerciements !
Élevé depuis l'antiquité égyptienne au moins, le canard a trouvé en France une terre d'élection. Deuxièmes producteurs mondiaux de canards derrière les Chinois, les Français en sont surtout les premiers consommateurs ! C'est dire si nous accordons à ce joyeux palmipède une place de choix. Il suffit de parler de cuisses de canard confit et de magret pour voir les yeux briller et la bouche saliver - sans même évoquer le foie gras dont la présence semble indispensable pour un repas de fête, tant il illustre à la fois le raffinement et un certain art de vivre français.
Pourtant, il n'y a pas que des canards gras dans nos élevages. Il y a en France beaucoup de canards qui ne sont pas gavés, dont le foie reste bien rouge et qui ne demandent (ou presque) qu'à passer à la casserole, en cocotte ou à rôtir tranquillement accompagnés de navets, cerises ou de coings (le fameux canard coing-coing).
Au-delà du canard de Barbarie qui est le plus présent de ces canards non gras, les Français, au fil des temps, ont développé de nombreuses variétés parfois très locales : le canard de Challans, le canard de Rouen, celui de Duclair, etc., dont certaines, en voie de disparition, ne doivent leur survie qu'au travail d'éleveurs passionnés.
Inscrit depuis longtemps dans la gastronomie avec des recettes emblématiques comme le classique canard à l'orange, le prestigieux canard à la presse de la Tour d'Argent ou le canard laqué (morceau de bravoure de la cuisine chinoise), notre palmipède se prête volontiers à l'imagination des gastronomes.
Qu'on se le dise, en cuisine, il n'y a jamais de vilain petit canard !
La tomate est un univers riche de plus de 12 000 variétés, d'un nombre incalculable de recettes et d'une histoire beaucoup plus complexe qu'on ne le pense généralement : originaire d'Amérique du Sud, la tomate s'est fait désirer avant de venir conquérir nos assiettes. Aujourd'hui incontournable, la tomate se déguste seule ou en accompagnement, un de ses attraits majeurs étant de s'allier avec bonheur à toutes sortes de viandes, de poissons, de fruits de mer, de légumes et de fruits : difficile de s'en passer ! Et quasi impossible de faire une erreur d'association - sauf une : manger des tomates « fraîches » en hiver, c'est-à-dire méconnaître totalement le vrai goût de la tomate. L'auteure retrace ici, entre autres, comment la tomate s'est introduite dans des recettes anciennes bien connues et appréciées avant son arrivée au xvie siècle, comme le gaspacho, la pizza, le tian et bien d'autres plats qui se sont ainsi colorés pour le plus grand plaisir des yeux et des papilles, mais aussi, par exemple, comment la tomate a réussi ce tour de force de transformer une sorte de saumure asiatique au poisson en ketchup « américain » trônant sur toutes les tables ! Une histoire pour le moins singulière et... juteuse - la tomate est le deuxième légume le plus consommé au monde après la pomme de terre ! - agrémentée de 112 recettes classiques ou originales.
Thé, mot à la signification multiple qui fait rêver le monde !
L'épopée de ces petites feuilles, dont la première utilisation en infusion se perd entre histoire et légende, est présentée ici suivant leur voyage allant de la Chine originelle et des pays voisins jusqu'en Occident et au-delà, avec l'arrivée des colonisateurs, des religieux et des marchands, qui transformèrent à jamais leur avenir, parfois dans le sang et les larmes, faisant du thé la boisson la plus consommée au monde après l'eau.
Apprécié ou dénigré selon les époques, pur ou en mélange, parfumé ou aromatisé, le thé peut être blanc, jaune, noir, rouge, fermenté ou non, et son infusion peut être alors sucrée ou salée, lactée, citronnée, épicée, glacée, source parfois d'autant de différences d'appréciation entre consommateurs.
Lié dès son origine au taoïsme, au confucianisme et surtout au bouddhisme, le thé reste associé à la nature, au calme, à la sérénité, devenant l'objet de véritables cérémonies, dont la plus célèbre est le cha no yu japonais, ou de rituels, journaliers, comme le tea time anglais. Plus simplement, il s'est installé aussi sur toutes les tables du monde, des plus riches aux plus modestes.
Le thé est accompagné de tout un cortège d'ustensiles simples ou sophistiqués qui deviendront parfois des identités nationales, tels le samovar russe et la berrad marocaine.
Vaste programme et sujet inépuisable que le thé !
Plus de 100 recettes !
Le pâté est consensuel.
Tout le monde s'accorde pour lui trouver toutes les qualités. Il ne fait pas grimacer les enfants de dégoût, les amateurs de cuisine rabelaisienne ripaillent en sa compagnie sur les nappes vichy des tables de bistros, ceux qui déjeunent sur le pouce l'apprécient en sandwich, quand d'autres savourent, avec fourchette et couteau, le pâté en croûte à la pointe de la tendance gastronomique ces dernières années.
Il y a aussi ceux qui le mangent sur une tranche épaisse de pain de campagne ou une baguette toute fraîche, les autres qui se targuent sans complexe de tremper leur tartine de pâté dans le café du matin. En bocaux, il dépanne lors de petits creux impromptus. Pâtés chauds ou froids, pâtés de viande, de poisson, aux fruits, aux légumes, ce serait réducteur de considérer que le pâté n'est qu'une affaire de cochon alors que son univers est infini dès lors que l'on y met un peu d'imagination créative.
Le pâté est généreux, convivial, rassembleur. Aussi, c'est un vibrant hommage que nous allons faire dans ce petit traité des pâtés de France, de Navarre et du monde entier, en nous accordant des étapes gourmandes à la découverte des terrines, tourtes et rillettes qui mettent en avant des produits d'exception.
Mesdames et Messieurs les censeurs de la cuisine du terroir, Mesdames et Messieurs les jurés, nous le clamons solennellement, faisons l'éloge du pâté, plaidons pour qu'il retrouve toutes ses lettres de noblesse et militons pour le voir inscrit au patrimoine culturel immatériel de l'humanité.
À vos marques, prêts, pâtés !
L'idée de manger des fleurs est loin d'être nouvelle mais elle prend incontestablement de l'ampleur et surprend encore bon nombre d'entre nous. Qu'ils soient étoilés ou non, tous les chefs succombent, avec raison, au charme floral culinaire. En gastronomie, la vue importe autant que le goût et les fleurs multicolores rehaussent l'éclat des préparations, réjouissent notre vue et émoustillent nos papilles.
Qui n'a pas appris, enfant, que les fleurs de trèfle au goût sucré pouvaient agréablement être sucées comme des bonbons ? Quel enfant n'a pas eu envie de croquer ces si jolies fleurs de toutes les couleurs ? Las, tout ce qui est beau n'est pas forcément bon et nos ancêtres ont dû l'apprendre à leurs dépens. Comme pour les champignons, il y a des fleurs toxiques, prudemment listées dans cet ouvrage.
Parmi les deux-cent-cinquante fleurs comestibles, ce Grand traité s'attarde principalement sur les fleurs que chacun peut avoir dans son jardin ou sur son balcon, et sur celles qu'on peut très facilement reconnaître et cueillir dans la nature. De plus en plus de fleurs sont vendues dans des commerces spécialisés, voire sur les marchés, sèches et même, maintenant, fraîches.
Beurre parfumé, glaçons fleuris, confits, salades hautes en couleurs, condiments, beignets ou crèmes délicieusement parfumés, farcis, sauce ou soupe au goût prononcé, buffets insolites et goûteux, tout est permis, ainsi que le montrent les nombreuses recettes présentées ici. Succès garanti auprès des convives ! Et comme la conversation
Qui ne connaît pas les herbes aromatiques ? Chacun d'entre nous est capable d'en citer un plus ou moins grand nombre... Mais, en réalité, savons-nous combien d'entre elles sont de « vraies » herbes aromatiques ? Voici le complément indispensable du 'Grand traité des épices'. S'il traite des « fines herbes » largement répandues dans nos jardins comme la ciboulette, le basilic, la menthe ou le thym, il s'intéresse également à certaines plantes comme la coriandre, le fenouil ou la livèche, présentées dans le premier volume pour leurs parties « épices » (graines, écorce ou racines) mais dont l'utilisation d'autres éléments, en particulier les feuilles, n'avait pas été retenue. Ce volume traite aussi de nombreuses plantes de nos forêts et de nos chemins pour peu qu'elles soient aromatiques et utilisées en cuisine. Ainsi, plus de 90 herbes aromatiques sont présentées dans ce livre, dont quelques-unes pour leur seule utilisation en tisanes ou en liqueurs. Toutes se trouvent facilement sur les étals des marchés ou dans la nature. Cet ouvrage, comme le précédent, est donc à la fois un livre de botanique et d'histoire, celle de la découverte de la plante et de son utilisation ancienne et actuelle en médecine, mais surtout en cuisine, plus de cent recettes permettant de les utiliser pour en découvrir tous les bienfaits ! L'illustration originale, composée uniquement d'aquarelles et de dessins à l'encre, aidera le lecteur à reconnaître les grands classiques mais aussi des herbes aromatiques plus discrètes dans nos cuisines et pourtant à portée de nos mains, comme l'ail des ours, la bourrache, les immortelles et bien d'autres.
Environ 600 ans av. J.-C., l'olivier fait son apparition dans la région de Marseille et deviendra rapidement le symbole de toute une civilisation. Quelle est l'évolution de l'olivier depuis son implantation dans les pays de la Méditerranée jusqu'à nos jours ? Quels sont les secrets de la production de l'huile d'olive ? Quels sont les bienfaits réels de la consommation de cette huile ? Voulez-vous voyager dans les pays où l'on cuisine avec le merveilleux "jus d'olive" ? Quelles sont les meilleures variétés d'olives pour une huile au goût bien typé ? Et de l'Antiquité à nos jours, comment ce lieu magique où se joue la qualité des huiles - le moulin - a-t-il évolué ? Aujourd'hui, l'huile d'olive, à travers tous les régimes méditerranéens, est devenue le symbole d'une cuisine légère et ensoleillée mais, parmi toutes les huiles d'olive, comment faire un choix personnel ? De l'olivier à l'huile d'olive, le Petit traité de l'huile d'olive vous guidera dans le monde de l'olivier, vous conseillera pour choisir "votre" huile d'olive et ses nombreux conseils, ses recettes simples et originales vous permettront d'en tirer le meilleur parti. Un ouvrage pour découvrir l'huile d'olive.
Pour apprécier pleinement toutes les qualités d'un fromage - odeur, couleur, saveur, consistance, etc. - celui-ci doit être accompagné d'un vin et d'un pain appropriés. De plus, il faut qu'il soit arrivé à parfaite maturation et servi à la bonne température. Mais, surtout, il est indispensable que le fromage soit coupé de façon impeccable. Bien couper un fromage relève d'un art véritable, qui en rehausse toutes les qualités. Le vrai fromage ne mérite pas d'être coupé n'importe comment, ni avec n'importe quoi ! Une coupe irréprochable est un acte rituel, qui ne tolère ni bavure ni à-peu-près. Les gourmets trouveront dans ce "Petit traité" les règles de l'art pour couper parfaitement le fromage, mais aussi pour le présenter et l'assortir au pain et au vin - afin de mieux le savourer. Quelques recettes complètent les règles de cet art, que se doit de connaître tout amateur de fromages. Remplace EAN 9782911328008.
« Courre, courre aussi vite que tu peux?! Tu ne pourras pas m'attraper?! » Tout le monde connaît l'histoire du petit bonhomme de pain d'épice, mais de quel pays vient-il?? De France, d'Angleterre, d'Allemagne, d'Europe centrale, de Russie?? Non, il nous arrive tout droit des États-Unis.
Alors, le pain d'épice est originaire d'Amérique??
Absolument pas?! On dit qu'il vient d'Égypte, de Rome ou de Chine, à moins que ce ne soit de Russie ou... de Pithiviers (via l'Arménie?!). En réalité, il vient de nulle part et de partout, en forme de coeur, de cochon ou de saint Nicolas. Il est unique et multiple. Moelleux à souhait ou sec comme un cookie mais toujours d'une odeur délicieuse et bon pour la santé.
Permet-il d'apprendre à lire?? A-t-il servi d'arme fatale?? Que de légendes ou de rumeurs à son sujet attestant de sa notoriété?! Que de questions?! Est-il un pain??
En aucun cas. Est-il un gâteau?? Pas plus. Alors... qu'est-ce que le pain d'épice??
Une chose est certaine, qui ne trompe pas sur l'intérêt et le renouveau du pain d'épice : son retour en force sur les marchés de Noël et chez les grands cuisiniers où il participe maintenant à des recettes aussi bien salées que sucrées.
Mireille Gayet explore dans ce petit traité toutes les régions du globe où le pain d'épice est à l'honneur et propose près de cent recettes, des plus classiques ou traditionnelles aux plus originales ou surprenantes : de quoi combler les palais les plus divers - et d'aller de surprise en surprise gastronomique?!
La courgette mérite-t-elle sa réputation de légume fade sans intérêt ? Courgettes, je vous aime...
Apporte passionnément la preuve du contraire ! De l'entrée au dessert, Béatrice Vigot-Lagandré propose ici plus de quatre-vingts recettes qui montrent à quel point la courgette se révèle pleine d'intérêt si on lui accorde un peu d'attention et d'imagination. Excellente pour la santé, pleine de vitamines, de minéraux et de fibres, la courgette est de surcroît économique et simple à cuisiner. La courgette ? Un légume à découvrir !
Avec ce Petit Traité de la boulette, Pierre-Brice Lebrun remédie brillamment à l'absence de la boulette dans la littérature culinaire : voici un livre d'histoire, et d'histoires !
Remarquablement documenté, alliant richesse gastronomique et humour, l'ouvrage ne compte pas moins d'une centaine de recettes des quatre coins du monde, dont la plus ancienne date de quatre mille ans...
Journaliste gourmand, auteur de livres de cuisine, de guides touristiques, de récits de voyages et d'ouvrages juridiques, Pierre-Brice Lebrun voue sa vie à la quête des saveurs et des odeurs de son enfance liégeoise. il signe ici un ouvrage très attrayant et complet.
Pierre-Brice Lebrun traque ici sans merci les légendes qui entourent macaronis, cannellonis, farfalles et autres lasagnes. Marco Polo les a-t-il réellement ramenés de Chine ? Les Italiens ont-ils inventé la sauce tomate ? La première usine américaine de pâtes n'était-elle pas lyonnaise ? Et Panzani n'était-il pas français ?
L'auteur, passionné de pâtes et de cuisine, répond ici, preuves à l'appui, à ces questions fondamentales. Il fait voyager le lecteur de Pékin à Venise, de Babylone à Cordoue, de la Toscane au Pérou et de la Sicile à la Belgique, en évoquant les miracoli de son grand-père, la pastaschutta du Luxembourg et les vermicelles de la Mésopotamie. Il livre aussi une soixantaine de ses recettes préférées, de pâtes et de sauces pour les accompagner. Il explique la cuisson, la spadellata, et enseigne comment transformer la farine en tagliatelles : si ce livre donne envie de manger des pâtes, il donne aussi envie d'en fabriquer, d'en inventer, d'en découvrir tous les jours de nouvelles...
Chroniqueur gastronomique et journaliste voyageur, auteur de livres gourmands et de récits de voyage, Pierre-Brice Lebrun mange, goûte, boit, déguste, teste et savoure toute la journée, consciencieusement.
La première édition de ce Petit traité étant épuisée, une nouvelle édition s'imposait. Non pas une simple réédition mais une nouvelle publication, revue et augmentée.
Ce Petit traité se fonde donc cette fois sur la définition large et ancienne du mot confiture et aborde ainsi, notamment, les pâtes de fruits dont les préparations sont similaires.
Une approche qui vous fera tout connaître de l'histoire des confitures, de leur rôle de médicament à celui, plus récent, de plaisir gourmand sucré. Elle vous emmènera des temps anciens à la bassine à confiture de nos grands-mères et à son odeur merveilleuse si caractéristique.
L'autre apport de cette nouvelle édition tient à l'utilisation de toutes ces confitures. L'ouvrage ne se limite pas à donner des recettes, il s'intéresse de plus à leur utilisation dans divers desserts, des entrées ou des plats principaux à base de viandes ou de poissons.
Et vous ne résisterez plus à l'envie de tout essayer ! Confitures ou gelées de fruits ou de légumes, confits de fleurs, de feuilles ou d'algues, avec ou sans cuisson, avec ou sans sucre - tous les essais sont possibles pour un renouveau de la confiture !
Topinambours, crosnes, scorsonères... de bien jolis noms de légumes qui, depuis quelque temps, font un retour remarqué sur les tables des restaurants et les étals des marchés.
Délaissés, voire dédaignés car parfois liés à un passé douloureux, ces légumes que l'on dit « oubliés » ont pourtant de quoi séduire, non seulement par leur goût très savoureux mais aussi pour leurs vertus nutritionnelles !
Soupe aux orties, salade de crosnes, velouté de topinambours, gratin de panais ou pot-au-feu de légumes anciens, voici plus de soixante recettes simples et appétissantes pour découvrir ou redécouvrir ces petites merveilles, surprendre et régaler vos convives... et émoustiller leurs papilles !
Qui n'a jamais picoré des fraises des bois gorgées de soleil, des myrtilles ou des mûres au cours d'une balade ? À leur simple évocation, les fruits rouges font saliver et ont une formidable force évocatrice.
On les connaît bien sûr en dessert, mais les fruits rouges apprécient tout autant les accords avec les plats salés. Bonne nouvelle, on peut donc s'en délecter de l'amuse-bouche aux mignardises !
Journaliste culinaire et auteur de plusieurs livres de cuisine, Béatrice Vigot-Lagandré vous propose dans cet ouvrage des dizaines de recettes salées et sucrées, toujours simples à réaliser et très colorées. Salade de tomates et fraises, madeleines salées aux mûres, carpaccio de saumon aux baies roses et aux fraises, risotto aux framboises, cake au citron, myrtilles et cassis ou riz au lait et fruits rouges, voici plus de 70 recettes à découvrir pour toutes les occasions.
Une approche originale des fruits rouges et une nouvelle manière de s'en régaler !
Vieux comme le monde, le haricot ne fait pas son âge ! Sans une ride, il porte plutôt beau malgré ses heures de vol qui en font un vieux briscard de la gastronomie ayant vu du pays. Il ne fayote pas pour autant mais, la mode étant au vintage, il peut s'esbaudir dans les assiettes sans paraître falot.
L'entrée du haricot sur la scène des petits traités commence par la dissipation du malentendu qui tend à mettre dans le même panier deux plantes différentes : d'un côté, le haricot d'Amérique, introduit en Europe au xvie siècle par les conquérants du Nouveau Monde ; de l'autre le dolique, cultivé en Abyssinie il y a 5 000 ans.
Les présentations historiques faites, commence le voyage dans l'Hexagone - Paimpol, Soissons, Arpajon, Castelnaudary, Tarbes, en passant par la Vendée, les Charentes, la Meuse - pour savourer les cocos, lingots, mogettes, rognons et bien d'autres variétés... Un voyage qui se poursuit dans toute l'Europe, en Asie, en Afrique et sur le continent américain, à la découverte d'histoires et de recettes savoureuses.
Marie-France Bertaud, auteur de plusieurs ouvrages de cuisine et de fiction, traite ici le haricot dans une approche globale - historique, linguistique, littéraire, argotique...
- tout en inscrivant au menu de nombreuses recettes, traditionnelles ou inédites, salées et même sucrées, accompagnées de leurs accords vins.
Un Petit traité du haricot délicieux pour tous les becs fins !
Cet or noir accompagne l'humanité depuis des milliers d'années. Que ce soit pour des rites religieux, des parfums, des remèdes ou pour la cuisine, rien ne se fait sans lui. Des hommes ont traversé les océans ou les déserts pour le vendre ou l'acheter et des cités se sont fait la guerre pour en posséder le contrôle. Le monde serait très différent sans lui ! Et pourtant, aujourd'hui, on ne le voit même plus, on en ajoute dans la cuisine en suivant la recette, sans y réfléchir, on en saupoudre notre omelette sans même y penser.
Ce produit devenu si banal, c'est le poivre.
Mais que de produits différents sous ce nom ! Entre certaines poudres grises ou certaines baies plus ou moins piquantes qui n'ont plus du poivre que le nom, les abus de langage sont nombreux et demandent des éclaircissements.
Ce Petit traité du poivre redonne ainsi à cette belle perle noire ses lettres de noblesse, avec deux objectifs : savoir reconnaître un bon poivre et savoir l'utiliser.
Un voyage dans le temps mais aussi un tour du monde gustatif et culturel, avec de nombreuses recettes issues d'expériences culinaires asiatiques, de livres anciens datant des Romains ou du Moyen Âge ou encore des remèdes traditionnels.
Le vrai poivre, ou plutôt les poivres retrouvent ici la place qu'ils méritent : celle d'un produit noble qu'il faut redécouvrir, lui qui donne aux plats des saveurs exceptionnelles, des arômes quasiment envoûtants, venus de loin.
L'histoire du café n'est pas seulement celle d'un petit grain venu du Moyen-Orient et simplement utilisé en cuisine à l'instar de certaines épices. Devenu boisson, le café se conjugue à l'infini selon les rites et les coutumes de la vie sociale, médicale, culturelle, économique et politique. Cet ouvrage est l'occasion d'un grand voyage dans le temps et l'espace entre l'Éthiopie et l'Amérique en passant par l'Europe et l'Asie, d'une initiation aux différents modes de consommation selon les pays et les époques, d'une découverte des nombreuses variétés botaniques, des différentes méthodes de préparation mais aussi d'une évocation des écrivains et des peintres célèbres dans des cafés qui ne le sont pas moins. Derrière le café se cache en réalité tout un monde dont ce traité fait découvrir les innombrables facettes et les multiples manières d'en goûter la saveur. Un ouvrage qui a sa place partout : en cuisine près des livres de recettes, dans la bibliothèque près des dictionnaires, à côté de la machine (à café) et, surtout, au chevet des amateurs, occasionnels ou inconditionnels, experts en arômes, passionnés convaincus. ou en passe de l'être !
Pierre-Brice Lebrun a prouvé que Marco Polo n'a pas ramené les pâtes de Chine, que Parmentier n'a pas fait grand-chose pour la pomme de terre et que, si la Terre est ronde, c'est parce que la boulette existe (croire l'inverse est une aberration scientifique). Il s'attaque aujourd'hui aux origines du camembert, véritable héros français depuis qu'il a accompagné les Poilus dans les tranchées.
L'histoire prétend qu'un prêtre réfractaire venu de Meaux a transmis la recette du brie à une fermière qui aurait ainsi inventé le camembert : Pierre-Brice Lebrun est donc allé enquêter sur place, parcourant le bocage et les registres d'état-civil, visitant les fermes et les laiteries, suivant à la trace les protagonistes de cette saga révolutionnaire. Il a tenté ainsi de percer les mystères qui entourent le processus naturel de l'élaboration de ce fromage mythique.
Il était urgent de s'en préoccuper : le camembert est en danger !
Il ne reste en Normandie que deux producteurs de camembert fermier, et le lait cru est de toutes parts attaqué : de nombreux fromages sont déjà tombés au champ d'honneur, occis par les directives européennes, terrassés par les normes sanitaires, sacrifiés sur l'autel de la grande distribution.
Ce Petit traité défend sans hésiter le véritable camembert de Normandie au lait cru moulé à la louche, et en appelle au Peuple : il faut sauver le soldat camembert !
Habité par la nostalgie du camembert-assiette servi avec un verre de côtes-du-Rhône sur le zinc de chez Loulou, Pierre-Brice Lebrun suggère d'autres accords, plus savoureux, que le rouge avec le fromage, et détaille aussi dans ce Petit traité une bonne centaine de recettes de camembert, à déguster de l'entrée au dessert.
Vous pensez que l'aubergine ne se plaît que cuite en ratatouille ? Aubergines, je vous aime... vous propose de nouvelles idées, simples, originales et appétissantes, pour cuisiner ce légume méditerranéen riche en saveurs. Mine de bienfaits nutritionnels, excellente pour la santé, l'aubergine se révèle exquise et se prête à de multiples préparations, des plus faciles aux plus inattendues. En entrée rafraîchissante, en version sucrée-salée, épicée... et même à l'heure du dessert, vous serez conquis par sa saveur fine et délicate. Laissez-vous séduire par ces recettes savoureuses et originales, qui enchanteront vos papilles. Nouvelle édition avec trente-quatre nouvelles recettes originales.
Si ce Petit traité des sauces aborde essentiellement les sauces en France, ce choix n'est pas innocent. En effet, ce pays a longtemps conservé, tout comme les autres royaumes d'Europe, l'héritage latin de son Antiquité.
Plus tard, au xviie siècle, la France va développer une cuisine plus spécifique et raffinée qui fera et fait encore référence dans le monde entier. Jeter un regard sur les sauces françaises, c'est donc, d'une certaine manière, regarder les sauces du monde occidental.
Mais attention : les sauces sont bien plus qu'un simple accompagnement ou qu'un accessoire secondaire. Elles exaltent les qualités d'un mets tout en ajoutant les leurs, l'ensemble créant une nouvelle source de saveurs.
Et pour bien comprendre l'importance de la sauce, il faut d'abord considérer son histoire : l'auteur fait donc découvrir celle-ci, avec les techniques qui permettent de réaliser les sauces du passé. Puis il développe et commente les recettes du présent et finalement, c'est près d'une centaine de sauces que présente ce Petit traité.
Un ouvrage pour découvrir ces moments magiques passés derrière les fourneaux, où l'on ne se lasse pas de goûter et de rectifier maintes et maintes fois la préparation qui réduit lentement, à la recherche d'une sauce parfaite.