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Atramenta
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Haïkus 2016-2024 : Entre mer et montagne en ville ou en ligne
Sébastien Manya
- Atramenta
- Litterature
- 19 Octobre 2024
- 9789523908062
Né en 1970 à Marseille, Sébastien Manya est d'abord organisateur de concerts et festivals pendant près de vingt ans. Après un accident sur la voie publique en 2012 qui lui inflige un trauma crânien sévère, il arrête de travailler et il découvre alors l'univers du Haïku, ainsi que la photographie, particulièrement depuis son chalet en montagne. Il commence à écrire en 2016, en créant un blog qu'il alimentera presque quotidiennement. Ce recueil est une sélection antéchronologique de haïkus et tankas écrits ces premières années.
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Artisans de paix sociale : Des expériences singulières, une réflexion universelle
Robin Durieux, Victor Vieilfault
- Atramenta
- Litterature
- 21 Janvier 2024
- 9789523905863
Une réconciliation sociale ne serait-elle pas nécessaire et possible ? La violence ordinaire est-elle une fatalité ?
Victor et Robin se sont confrontés volontairement à des quartiers et de lieux de vie où semblent dominer les rapports humains agressifs et tendus. Ils vont y vivre des expériences fortes de rencontres non-violentes qu'ils racontent dans un dialogue énergique et stimulant.
Ils analysent les facteurs qui aident à sortir de cette violence, à la contenir, à la canaliser positivement, et s'appuient sur l'apport des sciences humaines pour fonder leurs actions.
Lucides et optimistes, ils proposent un autre regard sur les jeunes et populations en difficulté et une ouverture pour construire des relations sociales plus apaisées. -
Immanquablement, les années ont passé. Un jour, on réalise qu'une métamorphose est en cours, on ne peut plus l'ignorer.
Le rythme a ralenti, le temps s'est intensifié, verticalisé. Le moment de l'allègement est venu ; entrer dans ce nouvel espace délesté des charges inutiles, des objectifs parasites.
Vivre pleinement les jours qui se présentent, embrasser la vie comme elle vient. -
Des poèmes comme des tableaux qui jalonneraient un parcours, esquisseraient une quête. Ils évoquent le passage d'une vie, la difficulté d'aimer, et pour certains, la violence du monde. La forme est brève, l'écriture vive. Dans le flot des mots les sons se répondent, parfois le rythme claque. Çà et là, quelques miroirs sont posés qui bousculent le genre.
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En devenant auteure, Solène de Montmarès accède à une certaine plénitude et son parcours de vie trouve ainsi un accomplissement dans et hors l'écriture.
On parle souvent de la loi des séries mais pour l'héroïne c'est tout simplement la concrétisation de ce en quoi elle a toujours cru : « fais de ta vie un rêve et de ce rêve une réalité ».
Hélène Montbrecq montre ici qu'écrire, tout comme créer, est un moteur essentiel de l'existence et conduit tout un chacun à se découvrir, à accoucher de sa vraie personnalité ; sans doute un bien sympathique moyen d'apporter à l'humanité ce petit quelque chose d'unique mais finalement tellement nécessaire à tous !
Ne sont bonnes que les choses partagées : un partage au goût d'éternité car tout ce qui est écrit le reste à jamais ! -
Observations, indignations, confessions, énumérations, élucubrations, exagérations et autres émerveillements extatiques... bref, une invitation à vagabonder dans tous les sens, l'oeil vissé sur une lorgnette déformante. Les 44 textes de ce recueil louchent plus du côté de Jacques Prévert que de Charles Baudelaire et se veulent résolument contemporains.
Ils sont accompagnés d'illustrations qui ne sont en aucun cas de la "photo de charme" mais comportent du nu. Pour n'effaroucher personne, une version non illustrée est également proposée sous le titre "Outrecuidance" (au singulier). -
Le cri du projectionniste le soir au-dessus des gens
Dominique Terrier
- Atramenta
- 12 Mars 2022
- 9789523901209
Le cinéma est un rendez-vous amoureux, un lieu de culte, une fête, un petit bonheur, une sortie loin de chez soi, un moment de réflexion, une crise de rire, une montée d'adrénaline, une magnifique cascade de sanglots. Le cinéma c'est le rêve, c'est la vie plus grande que nature, avec des couleurs plus vives, des sentiments plus forts, des mots plus ciselés.
Passionné par le septième art depuis sa plus tendre enfance, Dominique Terrier vous propose cent-dix-sept chroniques où critiques de films et souvenirs cinématographiques se mélangent harmonieusement pour sublimer son amour du cinéma. -
Ce recueil de poèmes fait suite à Absences, paru en 2020, et à De la nuit des jours, paru en 2022. Les corps. Des corps à terre, des corps blessés, des corps qui grandissent et osent la vie, des corps qui transpirent et qui dansent, qui se désirent et se rencontrent, s'étreignent, des corps vivants. Ces corps sont notre écorce, notre essence, ils chantent aux lisières du monde.
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Entre la poésie et les romans quelques histoires courtes se glissent... alors pourquoi pas un petit détour par quelques lignes afin d'y découvrir des textes dont l'ambition première est d'être légers, poétiques ou encore inquisiteurs ?
Ils n'ont que la volonté de sortir l'esprit du quotidien et d'ouvrir la porte aux rêves et à la réflexion... -
Amie lectrice, cher lecteur, je vous offre à travers ces quelques pages mon fol espoir que la vie ait un sens. Ce roman n'est qu'un établi, et ses personnages, des outils, pour façonner les contours d'un grand rêve. Et si, en fin de compte, la lumière avait raison des ténèbres...
Un professeur à la retraite et un jeune ingénieur impétueux incarnent mon histoire. Sur les chemins de Compostelle, près des accélérateurs de particules ou dans les hauts-lieux de légendes, ils poursuivent la même quête, aux yeux en forme d'amande pour l'un, aux parfums d'au-delà pour l'autre, ignorant qu'une douce illumination les attend.
La fiction permet de batifoler, sans justification ni calcul. Elle se moque du bien-pensant. Elle rit du bien-sachant. Ennemie des certitudes froides et des sombres prophéties, elle nous sauve des mauvais jours. Grâce à elle, l'infortune n'est qu'apparence. Et si c'est elle qui avait raison... -
Des actes pervers répétés sont évoqués. Les victimes ont-elles porté plainte ? Non. Un ami proche me fait dans les jours qui suivent, une injonction claire. Tout acte de perversion doit être dénoncé ! C'est une obligation morale. Mais que puis-je dénoncer, moi qui n'ai rien vu ? Plutôt que de pousser des cris étouffés, ma réponse est d'écrire. Et les cas de perversion ne manquent pas : caresses anodines, pédophilie, fétichisme, voyeurisme, viol et plus simplement abus de la force et du pouvoir. Mais avant de dénoncer, il faut identifier le pervers, comprendre sa stratégie, son déni du réel, ses difficultés à s'ouvrir à la parole.
- Josiane se refuse à son mari, sauf service rendu. Elle établit ainsi la règle. Tu branches le nouveau congélateur, on fera l'amour ce soir.
- Dominique est dans la séduction, sous le nez de son mari. Je ne fais rien de mal ! Elle met en place la jalousie, dans un triangle mimétique, comme soutien indispensable au désir. Et puis il y a le jeu de l'argent. Quand cette violence s'estompe, le désir s'éteint et le couple n'a plus rien à se dire. Et un nouveau cycle peut commencer.
- Pierre, fétichiste gentil, propose à sa femme une fête de printemps d'ici un mois. Il faudra des jonquilles et des tulipes, une brouette et quelques outils de jardin. Tu auras de la lingerie érotique, moi un foulard noué autour du sexe, le tout évoquant le printemps. Nous avons encore un mois pour affiner le scénario.
Valerian Dirken, est né en 1950 à Bruxelles. Ingénieur civil, il bifurque en 2007 vers la psychologie et la psychanalyse. Participant à l'Ecole de la Cause Freudienne. Il acquiert un début d'expérience clinique, qu'il poursuit à sa manière depuis 2015, comme bénévole dans un restaurant du coeur, ou il s'est auto attribué le titre d'éplucheur de légumes orienté par la psychanalyse. Depuis cette époque il est également visiteur en prison. -
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Il y a des lieux, des histoires qui se doivent d'être racontés. Au-delà du récit, des expériences singulières et des leçons apprises pour tout un chacun, une porte s'ouvre parfois sur une réalité inattendue. Elle permet d'emprunter un chemin, celui du destin.Naïs est fascinée depuis toujours par l'Inde et le Taj Mahal, symbole d'amour universel. Les synchronicités de sa vie renforcent son attraction pour le pays légendaire des Maharajas. Après des études de psychologie et ses premiers salaires en poche, elle décide de partir en Inde. Juste avant le départ, elle croise sur son chemin Léo. Le coup de foudre est immédiat. Il lui propose de l'accompagner. Elle accepte sans véritablement le connaître...Dès lors le périple ne va pas se dérouler comme elle l'imaginait. Magique et implacable, l'Inde va s'avérer passage initiatique et révéler les secrets du Taj Mahal, de la nature humaine et de l'amour, bien au-delà des espérances de Naïs...
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Conscients ou non, nos regards se posent, et en dépit de notre volonté ils laissent des traces dans notre mémoire.
De coups de gueules en pensées philosophiques un jour ou l'autre le besoin se fait sentir de les traduire par des mots pour faire un point, ou simplement comprendre, ou encore raconter une histoire dont les personnages nous ont été inspirés par l'observation de ces drôles de petites choses agitées que sont les humains.
Alors, au travers d'histoires courtes surgissent quelques mots à grignoter d'un regard... que j'espère complice. -
Les sonnets de william shakespeare
Briand Philippe
- Atramenta
- Litterature
- 17 Décembre 2022
- 9789523903029
Shakespeare est mystère. On ne connaît pas une ligne écrite de sa main, hormis six signatures au bas de documents officiels, dont son propre testament. Quelles étaient ses opinions politiques ou religieuses ? Même en lisant son théâtre entre les lignes, rien ne permet de le savoir.
Peut-être alors, pour connaître l'homme, devons-nous nous tourner vers ses poèmes d'amour, plus intimes ? Venus et Adonis (1593) et le Viol de Lucrèce (1594) ont été constamment ré-édités jusqu'à la mort de Shakespeare en 1616. En revanche, la carrière des Shake-speares Sonnets publiés en 1609, s'est avérée moins glorieuse, avec une seule édition du vivant de l'auteur.
Pourquoi cet échec ? La réponse se trouve sans doute dans ce commentaire laissé par un lecteur contemporain sur la dernière page de son exemplaire : « quel infâme fatras de propos impies ». La teneur des Sonnets aurait-elle effrayé les lecteurs ?
Des cent-cinquante-quatre Sonnets, cent-vingt-six sont adressés à un mystérieux jeune aristocrate, le « Fair Youth », dont le Poète célèbre le mérite ? la beauté ?, et auquel il se voue entièrement. Vingt-huit le sont à une non moins mystérieuse maîtresse, la « Dark Lady », ou « Dame Brune ». Le lecteur découvre que le Beau Jeune Homme et la Dame Brune ont lié connaissance, et entretiennent un commerce charnel, tandis qu'un poète rival rajoute à l'intrigue. -
En vacances en Indonésie, Detlev croise la troublante Zoé. Évincé par un rival amoureux, il décide de prendre ce dernier en filature. Mauvaise idée ! Après avoir dû mentir à Lustigo, son associé, il se retrouve entraîné malgré lui en plein scandale sanitaire mondial : de nombreuses femmes deviennent stériles et les gouvernements réagissent en s'en prenant à la liberté d'avorter.
Un roman décapant qui raconte, à hauteur d'homme et en ping-pong, la dérive de deux quadras aux tempéraments antinomiques pris dans la toile d'une multinationale sans scrupules.
L'auteur Pierre Gilissen est né à Bruxelles en 1960.
Journaliste, spécialiste de la partie flamande du pays, il est actuellement responsable de l'édition belge du magazine Courrier international. Entropie est son deuxième roman. -
Au-delà des vers, l'amour? est un voyage dans la vie qui naît et, sans cesse, renaît dans l'intimité vibrante et absconse du temps, de la pierre, de la nature et de l'homme ; des textes célébrant l'amour, vantant ses lueurs, invoquant ses thaumaturges : l'amour sublime unissant deux jeunes gens de confessions juive et musulmane ; le zellige fassi, un art ancestral marocain aux mille symboles ; un timonier appelé au secours d'un amour vacillant sous l'effet de l'infortune ; Baucis et Philémon dans la béatitude de l'amour simple mais vrai sous les auspices de Mars et Jupiter ; une institutrice de village, au crépuscule d'une longue vie dédiée à l'enseignement, fait ses adieux à ses jeunes élèves ; Slat Al Fassiyine, la plus vieille synagogue de Fès ; puis Jbal Alam, ce mont du nord marocain, qui se lia d'amitié avec un maître mystique du XIIIe siècle, vivant et trépassé?
Fadil Mance est diplômé en sciences et en droit. Physicien, il travaille dans le domaine de la physique subatomique. Il a publié plusieurs recueils de poésie et a contribué à des anthologies poétiques, françaises et internationales. Il est membre de plusieurs sociétés des lettres, d'art et de poésie. Sa poésie a été récompensée par des prix dont le Grand Prix des Lettres 2021 de la Société académique Arts-Sciences-Lettres et des diplômes d'honneur de la Société des Poètes Français. -
En lisant mon témoignage, vous découvrirez comment ma grand-mère décédée est parvenue à communiquer avec moi de l'Au-Delà, mais aussi comment ma foi m'a permis de déceler une vérité jamais soupçonnée.
Ma grand-mère ne mit pas très longtemps après son décès pour entrer en contact avec moi. Je savais, étant donné les quelques recherches que j'avais effectuées, que les défunts (non bloqués dans le bas astral) pouvaient avoir besoin d'un certain temps d'adaptation après leur mort et qu'il était possible qu'ils ne puissent pas communiquer avec nous avant un certain délai. Dans le cas de ma mémé, son silence ne dura pas une éternité. Quelques semaines seulement après son départ dans l'Au-Delà, elle commençait déjà par apparaître dans mes rêves. Cela n'avait rien à voir avec ce songe où était apparu le père de Richard par le biais de mon miroir. Rien d'effrayant, pas de décor à l'envers. Ces nouveaux rêves étaient enivrants d'amour et ce sentiment persistait encore quelques instants après mon réveil. Dans ces songes, je pouvais même la toucher, me blottir tendrement dans ses bras, l'embrasser... Le bleu de ses yeux y était encore plus magnifique que dans mes souvenirs. -
Femme chrétienne, leadership féminin ; restituer la place de la femme dans les écritures
Laurence Ndong
- Atramenta
- 25 Novembre 2018
- 9789523402317
Ah, je viens tout juste de terminer la lecture du livre que vous tenez en main, et déjà je ne me contiens plus. Je me sens comme poussée par une force supérieure, à me lancer dans une plaidoirie itinérante en faveur de la parité des genres, de la reconnaissance éternelle de la valeur de la femme, qui ne peut qu'être égale à celle de l'homme. Je mesure bien la difficulté liée à cet engagement si tentant, mais je me sens armée de toute sorte d'arguments pour tenir tête aux contrevenants.
Pour parler de la relation entre les femmes et les hommes, sur cette terre, je n'ai pu pour l'instant recourir qu'à ce mot : « parité ». Mais à peine je l'ai écrit, je l'ai aussi perçu presque immédiatement comme l'indice d'un appauvrissement, lié au langage de notre temps. Il me semble hélas la manifestation verbale d'un politically correct qui cache à peine son inadéquation face aux argumentations théologiques, ontologiques et anthropologiques développées le long de ce livre.
Pour nous qui sommes habitués à l'analyse des textes relevant de la laïcité institutionnelle (textes païens ?), l'impact avec une analyse biblique des injustices commises contre les femmes dans nos sociétés est presque cinglant, parce qu'il laisse immédiatement percevoir l'arnaque qui est à son fondement. Oui, avec Laurence Ndong, je viens de conforter mon idée selon laquelle les inégalités entre les hommes et les femmes, dont on souligne presque partout l'origine religieuse, ne sont que le fruit d'une construction sociale.
C'est donc avec réconfort que nous devons continuer à penser à notre Dieu, lui reconnaissant l'intégralité et la plénitude da sa miséricorde, confiants du fait qu'il n'aurait pas pu consacrer une injustice, une domination ad aeternam du genre masculin sur le genre féminin. Le Seigneur n'y est pour rien dans nos souffrances, au contraire, il s'est déployé de toutes les façons imaginables, pour nous libérer définitivement des tentations. Ce n'est donc pas dans sa bible que se trouvent les textes justificatifs de l'oppression.
D'où sont donc venues les inégalités qui pénalisent les femmes un peu partout dans le monde aujourd'hui ? Pour nous conduire à l'acquittement de la Bible par rapport aux piètres considérations faites au sujet des femmes, Laurence Ndong nous propose une méthode : « donner aux textes bibliques l'occasion de s'investir en nous, de nous interroger, de nous habiter, de polir et de dégrossir notre regard, de mieux éclairer notre raisonnement. ».
L'invitation m'est parvenue tout droit dans le coeur, certainement parce qu'elle a sollicité ma foi chrétienne. Mais à peine j'ai suivi l'autrice dans sa démarche, je me suis vite rendue compte qu'il ne s'agit pas ici de la seule exégèse biblique, qui ferait de nous les héritières à peine méritantes des religieuses cloîtrées.
Il s'agit plutôt d'une herméneutique comparée, qui croise les authentiques écritures bibliques avec de nombreux textes qui jalonnent et règlent notre vie aujourd'hui : Les codes civils en vigueur dans nos pays, les rapports des organisations internationales qui se penchent sur la condition de la femme ainsi que d'autres sources.
Et ce n'est pas tout. À travers ce live, Laurence Ndong ne nous a pas invités à une partie littéraire. Voilà donc que le parallélisme entre les études textuelles et les épisodes de la vie quotidienne vient corroborer une démarche résolument holistique, qui puise dans l'histoire de l'humanité, les éléments de démenti des croyances sans fondements, devenues pourtant dur comme fer.
Nous sommes donc tous appelés à le reconnaître : oui, la femme n'est pas née pour être dominée. C'est le principe à partir duquel il faut se mouvoir, pour arriver nécessairement à la question de son leadership.
La société des humains, on le sait, a opté pour un leadership restrictif, je voulais dire restreint. Le mode de gouvernement de nos sociétés (religieuses et païennes) est dit représentatif, parce qu'une poignée de personnes est appelée à exercer le pouvoir à la place de tous. Quelle place réservée à la femme au moment de la détermination de ces leaders ? La femme peut-elle légitimement exercer un leadership et occuper pleinement une position de commandement ? De nombreux passages de ce livre nous fournissent une réponse réconfortante.
En conclusion de cette préface, je dois réitérer mon admiration pour l'autrice Laurence Ndong, dont l'engagement dans la vie me semble ne souffrir d'aucun doute. C'est un engagement marqué du sceau de la vérité qui tient probablement de sa fonction de pasteur, mais c'est aussi sans doute un engagement qui tient de son souci à voir le monde se libérer finalement de l'oppression, d'où qu'elle puisse en être l'origine.
Laurence est l'exemple d'une femme leader qui, à partir de sa capacité à prêcher la véritable parole du Seigneur, se jette corps et âme dans le monde des humains que nous sommes, pour que les vérités prêchées puissent acquérir la nécessaire matérialité.
C'est ainsi que j'ai cru voir dans ce livre, non pas un combat pour la libération de la seule femme des carcans et autres jougs qui l'assujettissent, mais une volonté consciemment exprimée d'activement libérer même les hommes des fausses croyances discriminatoires pour en définitive promouvoir la société de la béatitude.
Souvent, le long de la lecture, je ne me suis un peu abstraite de la compréhension sémantique des lignes du texte, pour me complaire dans la vision (contemplation) de Laurence Ndong engagée dans une sorte d'opération de libération, dans sa qualité reconnue de leader d'une guérilla sémiologique urbaine et rurale, mondiale. Je m'y voyais enrôlée.
Cécile Kyenge, Députée Européenne, ancienne ministre italienne -
Attendre... en 2020 : Chronique du confinement du 15 mars au 11 mai 2020
Géode Am
- Atramenta
- Litterature
- 10 Octobre 2020
- 9789523407374
Chronique du confinement, rédigée au jour le jour, du 15 mars au 11 mai 2020, cet ouvrage est le « journal de bord » d'une famille avec de jeunes enfants, pour garder la mémoire du vécu, du ressenti, avec les doutes, les peurs, les espoirs, au long de cette période troublée qu'a été cette obligation de confinement pour cause de pandémie.
À ce jour, l'épidémie de Covid19 continue de sévir en différents pays, elle est à peine contenue en France et l'avenir n'est pas certain.
Cette chronique est un témoignage sur le vif, avec ses a priori et ses contradictions, pour que les jeunes enfants d'aujourd'hui, plus tard lorsqu'ils seront devenus adultes, comprennent ce qui leur a été imposé. -
Florilège de bons mots sur des tons décalés et burlesques mais aussi sérieux et sincères. Certains thèmes sont abordés sur des notes légères, d'autres sont l'objet de réflexions plus sensibles, passant en revue nos petits et grands travers dans des domaines aussi divers que le sexe, la religion, l'alcoolisme, la finance ou la nature. Les stéréotypes sont transposés au second degré sous un regard pince-sans-rire et provocateur qui décortique le monde contemporain, ses dérives et ses absurdités.
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Il est question ici de souvenirs d'adolescence, de rendez-vous Tinder, d'aller vivre dans une cabane, de l'état déplorable du monde et de choses aussi essentielles que les problèmes existentiels des bananes. Sans parler du coeur de l'auteur, lequel fait pencher ces 44 poèmes du côté de chez Prévert plutôt que vers le grand Charles (Baudelaire).
Ce livre existe également en version illustrée sous le titre Outrecuidances (au pluriel). -
Librement inspiré d'une oeuvre majeure de Jérôme BOSCH, "les visions de l'au-delà" nous emmènent à la rencontre de deux personnages romanesques à cinq siècles de distance l'un de l'autre. Celui du père Noé, éleveur d'ours en peluche, héritier d'un mystérieux testament rédigé cinq siècles plus tôt sous les lattes d'un vieux plancher et celui de Fabio Benevieni, jeune libertin florentin emmuré en 1507 dans une des tours de l'évêché de Metz.
Il est impossible à ces deux personnages de se croiser et pourtant par les visions délirantes du peintre flamand, par la folie du Père Noé, par l'audace de Fabio, l'au-delà du possible devient réalité.
Traçant les temps forts d'une période riche en évènements, Raymond Fiabane nous invite à découvrir les années qui ont précédé et préparé la Réforme : naissance des communautés laïques dans les Flandres, trafic d'indulgences, instauration du tribunal du Saint Office, propagation des idées par la découverte de l'imprimerie, prédications de Savonarole, découverte d'un nouveau continent. Avec Fabio et le père Noé, il a su créer des héros fictifs qu'il a mêlé à ceux qui ont fait l'Histoire : Erasme, Bosch, Savonarole, de Vinci... -
En plein vol : Dialogues et confidences
Krystel Cotelle
- Atramenta
- Litterature
- 21 Septembre 2021
- 9789523409705
La rencontre de ces deux femmes fut une sorte de coup de foudre amical.Instantanément, Karlène, auteure dynamique, et Sophie, journaliste, ont compris que l'aventure ne s'arrêterait pas là. Devenues inséparables, elles se livrent leur coeur et leurs pensées sur la vie, évoquent leur passé, leurs luttes et leurs espérances, effleurent l'avenir d'interrogations et de doutes. Elles se disent tout, parfois entre deux pages et vous ne saurez donc pas tout? Mais qu'est le tout de la vie si ce n'est l'imprévisible qui vient coller sa frange au front de nos combats quotidiens pour vivre? et survivre ?
Cet ouvrage au parfum de résilience est un voyage dans l'écoute attentive et empathique de deux âmes qui s'entrecroisent, se cherchent, se devinent, sont liées malgré et grâce à leurs différences, au-delà de l'absence et du silence lorsque l'imprévu frappe à la porte?
En plein vol, Dialogues et confidences est le reflet du souffle de la vie qui nous offre l'opportunité de grandir chaque jour.