Filtrer
Support
Éditeurs
Langues
Prix
Borromees
-
Les conflits familiaux nous concernent tous. Ce livre est l'essai d'en aborder la compréhension par les outils que la psychanalyse tente de nous offrir et d'en proposer une illustration par les films que le cinéma nous donne à voir depuis son invention. Ce n'est pas un guide de développement personnel pour l'harmonie familiale, mais simplement un éclairage sur la complexité des rapports humains au sein de la famille. Ceci le place dans une position originale, sinon unique, parmi les nombreuses publications actuelles. Il s'adresse avec simplicité, à tous ceux qui cherchent à comprendre ou approfondir les liens familiaux qui les unissent pour le meilleur et pour le pire, nul besoin d'être spécialiste ou expert pour s'interroger sur la vie de famille au quotidien.
-
Ce livre n est pas une biographie. C est le témoignage d'un chirurgien, féru de littérature. Les citations glanées et partagées ici sont nombreuses. Amateur d art et de peintures, les allusions et références aux artistes l'interrogent sur la place de la chirurgie dans le monde artistique. Le chirurgien est-il un artisan, un artiste ? En lisant son livre on découvre qu il est véritablement un humaniste libre et déterminé, au service des malades auxquels il a consacré sa vie. Il raconte dans le détail la vie du chirurgien, avant, pendant et après le bloc opératoire, les mains dans le corps de l'autre. Ce corps à corps qui réunit le médecin et son patient, dans une relation si particulière, sans en oublier son âme. Il exprime son souci de transmettre son savoir faire, son savoir être, son savoir penser. Il affirme sa volonté, en y mettant le prix, de faire école dans l excellence et l humanité d'une médecine en progrès. Son optimisme indéfectible, dans la sinistrose et le déclinisme ambiants, encourage le lecteur à penser à un avenir meilleur, et à croire que la médecine est encore le plus beau métier du monde.
-
La Foncière des Arts cherchait depuis bien longtemps une enseigne concrétisant son ambition et conforme à son slogan : créer du lien social par l'amour des vieilles pierres.
Au-delà du bistrot d'antan, du restaurant de style, de la boutique de centre-ville, c'est tout un art de vivre à la française qui est avant tout recherché. Rénover pour être à la mode tout en préservant l'histoire du lieu et de l'immeuble.
L'immeuble du Café des Arts qui a pris récemment la dénomination « Aux Artistes », 1&3 place du concert à Lille, fut à l'origine de la création de la Foncière. Idéalement situé sur la place du concert, il était prédestiné à devenir l'immeuble de référence. Au moment de l'acquisition en 1992, l'immeuble était en ruine, tant extérieurement qu'intérieurement. Cette plaquette largement illustrée raconte l'histoire de cette rénovation -
Lectures de l'esquisse (Freud 1895) notes, commentaires, illustrations, perspectives
Philippe Collinet
- Borromees
- 17 Mai 2018
- 9791096852000
"L'Esquisse d'une psychologie scientifique" est un texte jamais publié par Freud en dehors de sa correspondance à Fliess. Ce livre propose de mettre en parallèle la représentation imaginaire de l'appareil psychique de Freud et l'imagerie médicale actuelle: repérer la "Chose" qui articulerait le corps et l'esprit. Il cherche également à identifier les premiers concepts fondateurs de la psychanalyse et à réinterroger Lacan comme lecteur critique tout au long de son enseignement.
-
Quand l'oeil écoute, il peut entendre l'invisible. Le cinéma regarde la psychanalyse, la psychanalyse écoute le cinéma comme '' l'oeil écoute'' la peinture pour Claudel. Interpréter le film, lui trouver une signification rétrospective, construire les rapports d'altérité portés par le film, analyser les effets de la projection, reconnaître sa valeur esthétique, tel était le but d'un petit groupe d'amateurs et de professionnels, du cinéma et de la psychanalyse.
-
Madame, lettres d'une schizophrène à sa psy
Annick Outters, Marion Whyte
- Borromees
- 18 Mai 2020
- 9791096852116
"Marion et moi faisons connaissance quand elle a 17 ans. Elle vient de faire une tentative de suicide. Je suis psychologue, psychanalyste. Nous ne pouvons prévoir que quelques vingts ans plus tard nous écrirons un livre. Elle parle un peu de Lucifer et beaucoup de la mort, aime les lettres, écrit des poèmes et dessine des anges. Ils ne sont pas des anges gardiens mais habitent l enfer et je ne les vois pas, alors pour me les lire, elle ne cesse de m écrire... et je m exclame : C est beau !"
-
Si le livre prend la forme d'une question d'internat que les candidats ont beaucoup fréquentée : diagnostic positif, différentiel, formes cliniques, évolution, traitement...
L'exposé de l'addiction pathologique à la lecture, du besoin irrépressible de lire, est pour l'auteur le prétexte du chemin qu'il nous trace dans sa recherche des motivations du lecteur et des justifications de la littérature pour ce qu'elle lui apporte, le construit et parfois le déconstruit.
-
L'Homme sortant, s'en allant, touchant à sa fin évoque en symétrie l'Ecce homo, phrase attribuée à Ponce Pilate présentant Jésus à la foule après son arrestation.
Cet homme aux fondements hébraïco-gréco-romains est-il en voie d'effacement après Hiroshima et Auschwitz ?
Est-il en voie d'effacement dans un monde bousculé par la révolution numérique, le capitalisme financier libertaire, l'illimité du transhumanisme, monde dont le centre n'est certes plus en Europe ? Sans prétendre répondre à cette question abyssale, observons la nécessité de nous préserver simultanément du nihilisme passif s'appuyant sur le désespoir et de l'ivresse de l'espérance. Il s'agit de préserver l'équilibre de tous les jours sans capituler devant une situation extrême, de poursuivre un combat à l'issue incertaine sans pour autant perdre courage comme le firent avec une belle constance les médecins d'Hiroshima.
Jacques Ascher convoque les textes sacrés, la mythologie, l'histoire, la littérature, le cinéma, la philosophie, fondements de la civilisation, pour y pointer les manifestations barbares.
C'est un livre d'Histoire. Toutes les informations, les faits relatés, les débats soulevés et ici argumentés sont parfois et souvent ignorés du plus grand nombre. Signes d'ensauvagement qui enlèvent à l'homme ce que la culture apporte à la nature : la dignité humaine.
C'est le discours de l'analyste qui est ici déplié à chaque chapitre, chaque mot est un signifiant polysémique. Il ne juge pas, ne totalise pas, n'ordonne pas, ne s'émeut pas, il ne s'autorise à n'être que ce qu'il est pour un autre dans la logique du discours. Ceci donne au texte, malgré l'émotion qu'il provoque, la distance nécessaire pour embrasser le champ de bataille, lieu de notre égopolitique intérieure, entre le je et l'autre-je et la géopolitique entre les états désunis.
C'est libéré des illusions qui retiennent sur la voie du désir d'écrire, que Jacques Ascher ne cède rien face au Réel. Il nous donne à penser l'avenir avec l'humilité et la lucidité que peut nous apprendre la psychanalyse. -
Rosa Caron compose sa chronique du confinement à la manière destroubadours. Par le rythme des vers et des rimes, elle apprivoise le Réel d'une épidémie meurtrière. Ce n'est ni une Chanson de geste ni la Légende du siècle. Elle se refuse à la jouissance d'une écriture épique ou lyrique. Elle décrit, au coeur du Réel des patients, des soignants, des familles et des institutions, les bouleversements provoqués par la maladie et l'isolement dans leurrapport à l'autre. Un témoignage original et pertinent, poétique et politique qui touchera le lecteur et qui fera date dans l'Histoire littéraire des épidémies
-
Plus on lit ce livre, plus on regarde les illustrations dessins et aquarelles de l'auteur, plus on l'aime et mesure la duplicité abyssale du je qui nous compose et noue nos trois registres réel, symbolique et imaginaire dans ces pages feuilletées à la recherche d'un désir insaisissable.
L'auteur Robert Nicolaï quitte son statut de professeur émérite pour tracer un autoportrait avec la plume de Rimbaud qui écrivait à son propre professeur le 13 mai 1871 :
« Je veux être poète, et je travaille à me rendre voyant : vous ne comprendrez pas du tout, et je ne saurais presque vous expliquer. Il s'agit d'arriver à l'inconnu par le dérèglement de tous
les sens. Les souffrances sont énormes, mais il faut être fort, être né poète, et je me suis reconnu poète. Ce n'est pas du tout ma faute. C'est faux de dire : je pense. On devrait dire : on me
pense. Pardon du jeu de mots. Je suis un autre. »
-
"Ce livre, c'est le Cri du silence, l'écrit du sujet qui parle de l'impossible à se faire entendre. C'est La récupération automatique des mots dits, maudits du langage, pour s'incarner dans l'écriture du corps par les lettres. Des lettres adressées au lecteur, attendu, espéré, en forme de questions qui viendraient combler la faille, le trou dans la consistance du langage. - - Un livre qui par l'écrit, l'impression, la publication, s'ouvrirait à la rencontre d'un lecteur, d'une lectrice, dans une représentation symbolique où l'auteure pourrait s'inscrire et signer de sa propre identité. - - Un livre qui procède de l'écriture automatique qui permet le passage d'un personnage à un autre sans changer de sujet : Tous les personnages procèdent du Je du narrateur qui leur donne - vie dans le livre, qu'ils soient réels, symboliques ou imaginaires. Il ne s'agit pas d'une autofiction qui masque leur être derrière des personnages imaginaires. Il procède du réel de l'auteure, Ludivine François qui se donne cash ! - - Un livre miroir où auteure et lecteurs se reconnaissent, écrivant et lisant tous les impossibles du désir : de l'identité de l'être, de l'unité du corps, de la vérité du savoir, de l'égalité des Hommes, de l'amour des uns et des autres."
-
Oedipe préface ce livre: il raconte sa propre histoire et corrige les erreurs d'interprétation de Freud qui font de lui un personnage complexé. Il invite le devin Tirésias à tout dire. Si ce dernier joue un rôle secondaire dans la mythologie grecque, il a néanmoins retenu l'attention des psychanalystes car il incarne la possibilité pour un seul sujet, d'une sexualité partagée entre les sexes féminin et masculin.
-
Ce livre reprend les interventions proposées lors du séminaire de réflexions sur la phrase de Lacan: "La seule chose dont on puisse être coupable, au moins dans une perspective analytique, c'est d'avoir cédé sur son désir". Ont tenté d'y répondre: Philippe Collinet et Jacques Ascher (psychanlaystes), Pascal Janin (aumônier EPSM), Geneviève Hermann (journaliste), Joëlle Robert (professeur de langue) et Damien Corazza (psychologue).
-
Actualité du malaise ; néolibéralisme et jouissance
Christian Colbeaux
- Borromees
- 3 Septembre 2018
- 9791096852055
Les temps ont bien changé depuis l'invention de la psychanalyse, pour autant demeure la souffrance psychique de l'être parlant. Le malaise dans la civilisation (Freud 1929-1930) reste d'actualité. D'autant plus que le néolibéralisme qui nous gouverne aujourd'hui fonde le lien social sur le discours capitaliste, ce cinquième discours théorisé par Lacan. Or, ce discours capitaliste, c'est précisément le seul discours pour lequel l'accès à la jouissance n'est pas impossible.
-
écrit de la psychogéographe, une odyssée dans l'archipel des psy
Annie Vacelet-vuitton
- Borromees
- 18 Octobre 2018
- 9791096852062
C'est l'Écrit de la carte des parcours de paroles anodines ou savantes, leurs passages et leurs chutes, des appels à la résistance, des inventions nées de la douleur psychique. Il semble que tout reste à faire pour que "ça" tienne: l'ouverture au centre de la parole, dont précède la rencontre avec le Réel. Comment dire? Faire exister la santé, serait-ce ne jamais cesser d'explorer la réalité, le temps d'une heure, d'une année, d'un instant? Encore faut-il pour cela écouter et beaucoup écouter ce que ça fait d'écouter.
-
Ce livre est écrit par deux amis de longue date, après un parcours culturel riche en rencontres, échanges et croisements. Dans cet essai, ils partagent leurs impressions et leurs réflexions sur la peinture et la création artistique avec le regard d'un amateur d'art érudit pour l'un, d'un psychanalyste pour l'autre. Sans être toujours d'accord, ils proposent une toile qu'ils ont tissée ensemble pour voir la peinture peut-être autrement. L'exercice est périlleux, sans aucune objectivité, ils avancent leurs dadas, manies et marottes, objets de nombreuses discussions. Ce livre a néanmoins le mérite, pour le lecteur, d'interroger les peintres et leurs oeuvres avec d'autres mots, d'autres perspectives sur leurs intentions et les raisons de leur réussite à nous émouvoir, nous surprendre, nous émerveiller, nous rendre admiratifs ou hostiles.
-
""Dans le fond, un cancer c est comme un long tour de grand huit dont je n aurais pas voulu faire l expérience. Je suis embarquée pour un effrayant voyage vers l inconnu, tributaire du savoir-faire de techniciens experts, fermement maintenue par des protocoles, entourée de personnes qui poussent les hauts cris, alternant la peur au ventre entre d inquiétantes phases d attente et de vertigineuses accélérations.""
-
Images de l'errance ; entre documentaires et films de fiction
Annie Vacelet-vuitton
- Borromees
- 22 Octobre 2010
- 9791096852161
"Comment se relève-t-on du divan ? Et pourquoi faire ? En ce qui me concerne, j'avais besoin de mouvement et de nouvelles sensations. C'est pourquoi j'ai continué ma route en faisant des études de cinéma. L'apprentissage du cinéma - kine - m'est apparu comme une évidence mêlant au mouvement, l'esthétique - esthesi - la science des perceptions et des sens. Je voulais m'éloigner du « champ du langage, de la parole et de l'objet » cause du désir, afin d'entrer dans la sphère de la perception, de la sensation et de l'objet érigé en valeur culturelle. Il ne me semblait pas indigne d'interroger, d'une place différente, ce qu'est l'image, le regard, la voix, le réel. Apprendre à réaliser des films dont la vocation est d'être perçus directement par les sens. S'en coltiner la conception puis la réalisation, quitte à devenir bête, tout en conservant la liberté acquise grâce à la psychanalyse. Le thème de l'errance s'est imposé de lui-même, pour des raisons psychanalytiques et cinématographiques parce que l'errance, l'abandon de l'idée de - totalité, est un excellent outil d'exploration. Sigmund Freud dans la Traumdeutung écrit que le rêve n'est pas structuré comme un scénario mais comme un rébus. Il nous appelle en phonétisant à nous intéresser à la voix. Gilles Deleuze dans sa conférence sur l'acte de création nous rappelle que le propre du cinéma, c'est la disjonction entre l'image et le son. Claude Bailblé, - enseignant à Paris 8, nous incite à imaginer le cinéma du futur comme un cinéma"
-
"Mesdames et messieurs, j'ai l'honneur de vous présenter des hallucinations visuelles, auditives, tactiles et olfactives de haut niveau, parfaitement conservées. - Oui, comme vous l'avez deviné, ce sont bien les symptômes d'une maladie. De ma maladie. - - Vous en avez de la chance, de pouvoir vous promener comme ça chez eux, en touristes, sans aucune obligation... Voici le reste d'une auto-lobotomie, un bout de ma cervelle déposé sur un petit plateau de chirurgien, et dans lequel vous pouvez les voir évoluer."
-
"Invitation à découvrir ce recueil de citations traitant des situations et des émotions vécues au quotidien. Cet ouvrage récolte les phrases, pensées et reflexions les plus inspirantes des plus grandes personnalités d hier et d aujourd hui. Ce livre donne une joie à partager pour se distraire et réfléchir. Il vous accompagne pour garder le sourire ou créer chaque jour des moments de paix et de tranquilité."
-
Confinément
Jean-pierre Triboulet, Jean-pierre Ferandez, Philippe Collinet
- Borromees
- 18 Mai 2020
- 9791096852123
"Chacun de nous trois n avait qu une cetitude : avoir au moins deux lecteurs. Trois raisons pour prendre l air, prendre le large, prendre la plume et s échapper du confinement. - - Lectuer, voyage en notre compagnie, laisse-toi conduire par la couleur, le parfum et la musique des mots, monte à bord."
-
Citations romantiques et coquines ; 500 citations de A à Z
Collectif
- Borromees
- 18 Mai 2020
- 9791096852109
"C est à partir de nos premières amours, nos aventures et nos expériences de séduction, qu il arrive l un des plus beaux moments de notre vie. - Je vous invite à découvrir ce recueil de citations traitant de l amour. Cet ouvrage récolte des phrases, pensées et réflexions les plus inspirantes des plus grandes personnalités d hier et d aujourd hui sur la thématique de l amour romantique et coquin."
-
Malgré son titre, le livre n'est pas un roman épistolaire, c'est un récit, une autofiction amoureuse. Les liaisons sont sans danger et les rencontres en duels sur le pré ont fait place aux dates Tinder en duos sur canapé. L'amour ici encore est victime de la jouissance.
Tom, ni Don juan, ni Casanova, ni Valmont, est Un Homme sans gravité. Il vit sa vie pour jouir à tout prix, de tout : la fac, la ville, les restos, la musique, les bars, les bières... de tous : la famille, les copains de toujours, tous les jours... de toutes : les filles matchées sur les réseaux ou stalkées dans les boites... et tout de suite : ce soir ou demain...Quoiqu'il en coûte.
Ana vit la même vie, mais cherche à donner du sens à une jouis-sans qui n'en n'aurait pas, dans un ailleurs qui l'emmène à Auckland ou Tel-Aviv, deux villes symboles. Écologie ou religion, retour à la nature, quête de spiritualité ?
Ensemble pendant un an, ils vivent « la vraie liberté. La liberté de penser, la liberté d'être soi-même, la liberté de faire ce que l'on veut parce que ça nous plait. » Quand l'insaisissable objet du désir surgit, à portée du coeur, mais à contretemps, il fait Fuir le bonheur avant qu'il se sauve tant l'aveuglement pétrifie les Je t'aime, moi non plus, noyés dans Le Tourbillon de la vie. Il empêche de choisir, de s'engager, de renoncer et renvoie chacun chez soi. Le treizième chapitre, la dernière chance de ces douze mois ici racontés, serait-il le non-dit ou le non-écrit d'un amour finalement triomphant ?
C'est la chronique d'une vie quotidienne d'étudiants dans Un monde sans limite. Écrite simplement, comme on se parle aujourd'hui, avec les mots de la réalité des corps et la sensibilité des émotions d'un auteur au regard subtil et au style authentique. Elle témoigne de son époque en vérité des Vertiges de l'amour. Souhaitons qu'après ce premier roman, d'autres récits, d'autres époques taquinent à nouveau la plume de Jim Coupé
-
Le satanisme, ne se résume pas aux vampires, au Noir, aux sectes et au mysticisme. Vous en avez sûrement déjà rencontré de près ou de loin, de ces vampires sans canines, de ces diables sans cornes, de ces anges sans ailes. Des enfers à portée de main.
Ce livre traite des maladies mentales, et je puis vous dire mesdames, mesdemoiselles, messieurs que l'abandon ou le déni familial et social, l'isolement et l'errance dans les couloirs des hôpitaux, relèvent parfois du satanisme du plus haut niveau.
J'ai donc trempé la plume et arrosé ce recueil d'eau de bleuet, très efficace pour les yeux qui ont trop pleuré.
Marion et l'errance dans les couloirs des hôpitaux, relèvent parfois du satanisme du plus haut niveau.
J'ai donc trempé la plume et arrosé ce recueil d'eau de bleuet, très efficace pour les yeux qui ont trop pleuré.