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Littérature
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Mimi est une jeune femme habitée par la foi. Cette croyance la guide vers les déshérités. En proposant une boisson chaude, un peu de nourriture, Mimi crée un lien qui offre plus que cela encore : le réconfort, le partage, l'espoir... celui de renouer pour quelques minutes avec le monde de la chaleur humaine et celui insondable de la spiritualité.
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18 juin 1863. Après huit ans d'exil avec sa famille, Adèle Hugo, la seconde fille de Victor Hugo, s'enfuit seule au bout du monde pour rejoindre un officier anglais dont elle est éperdument amoureuse. Ensevelie par sa passion qui confine à l'érotomanie, tourmentée par le deuil de sa soeur Léopoldine, Adèle ira jusqu'au bout de sa destinée en tentant de s'affranchir de son illustre père pour exister par elle-même... (Une adaptation théâtrale écrite d'après les authentiques journaux d'Adèle Hugo).
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Isabelle Glain nous plonge dans l'univers des laissés pour compte ; Ces rois qui ont abdiqué retrouvent leurs places parmi leurs contemporains.
Ce livre représente 12 années passées auprès de ses hommes et femmes que nous croisons tous les jour assis par terre la main tendue, au feu rouge un gobelet à la main, endormis sur un banc à côté d'une bouteille vide ou errant dans la rue un caddie remplit d'affaires personnelles... Isabelle Glain nous raconte l'histoire de ces hommes et de ces femmes, leurs détresses, leurs joies, la sagesse ou la folie qui les habitent ! Ses rencontres nouent des liens, lient des amitiés, créent une conscience, sondent des âmes, façonnent des histoires de vie, avec en trame de fond un amour inconditionnel pour chacun, sans jugement.
Seule la foi peut redonner l'espoir à ces abandonnés de la vie qui s'abandonnent à leur sort. Lorsque l'on ne croit plus en rien, ni en soi ni aux autres, il reste le divin. L'auteure nous touche par la sensibilité de son écriture, par la simplicité de ses histoires, par sa foi en l'Homme, en Dieu, qu'elle réunit par sa seule présence. Jean Vanier : " Les Nuits du Coeur " n'est pas juste un livre. C'est un chant, un cri, une action de grâce, une louange, un appel.
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Dans la confrontation amoureuse, peut-on trouver son équilibre, quand l'attraction est basée sur de stricts opposés ? Corentine est prête à le croire, et plonge sans retenue lorsqu'il s'agit d'aimer. L'amour surgit justement. De l'amour passionné, qui raisonne en elle, en la rapprochant de son penchant pour l'Afrique. Sans se douter que son bonheur ne sera pas forcément là où elle l'attend... Un premier roman d'amour interethnique qui puise son inspiration dans l'actualité de la vie de l'auteur.
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Le portail du « clos », une barrière derrière laquelle certains enfants peuvent se considérer comme en prison. Pour d'autres, comme « Pierre », c'est la frontière, d'une nouvelle vie, celle qui le sépare d'une enfance brisée, dans une famille qui l'avait emprisonné dans la haine. De cette première vie, il va puiser en lui les ressources pour résister à l'adversité ; il en aura besoin car plus tard, il va lui falloir se battre, quelques fois combattre contre lui-même. L'auteur nous raconte son enfance, puis sa vie d'homme, de père... avec pudeur, sans états d'âme et sans jugement. Un livre d'expériences de vies épuisantes... dans lesquels le lecteur trouvera des réponses et un message d'espoir universel.
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Nouv.
Un message sur les réseaux sociaux voyage à la vitesse de nos connections électroniques. Il nous est aujourd'hui possible d'exprimer une opinion immédiate et, dans l'instant même, de l'exposer au monde. Mais cette instantanéité de transmission de la pensée améliore-t-elle la qualité de notre réflexion ? Ou ce luxe de pouvoir affirmer ce qui nous passe par la tête en un clin d'oeil, grâce à une technologie destinée à satisfaire notre impatience, ne favorise-t-il pas au contraire une paresse de la pensée profonde ? Savons-nous encore peser les différents arguments, laisser mûrir nos idées avant de les exprimer ? Savons-nous toujours écouter ceux qui ont des points de vue différents du notre, tolérer leur différence ? Ou sommes-nous devenus "accros " à ce réflexe de nous débarrasser de nos sentiments viscéraux, de nos instincts premiers, en tapotant sur nos écrans sans nous inviter à prendre du recul ? Savons-nous dialoguer, douter, nous questionner ? Sommes-nous encore capables de travailler de concert à une réponse collective qui satisfait notre éthique, notre morale, nos moeurs, notre culture ? Dans une démarche de Convivance ? Ou préférons-nous imposer nos vues sans admettre que l'erreur de jugement guette chacun d'entre nous ? INTERROGEONS NOUS...
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Yvan, brillant publicitaire mondain et célibataire, va changer de vie sur une rencontre anodine. La chance lui sourit, loin de son cercle parisien superficiel. Il découvre l'amitié nouée de relations humaines fortes et, chemin faisant, sa route le conduit vers ce qu'il n'a jamais osé imaginé tant il le désirait : l'amour à l'état sauvage.
En parallèle se trame une intrigue mettant en danger un étudiant insouciant embarqué dans une affaire politico-financière.
Une histoire de vies, des histoires d'une vie, dans un roman qui tourne au cyber-polar. -
LE ROMAN DE L'AUTOMOBILE EN 1925 Une réédition 2022 avec de nombreuses photos inédites. Un livre dont seul un passionné automobile peut en déceler la valeur. Paru en 1926, ce livre est le chant que Pierre Coutras offre à l'Automobile, témoignage d'une véritable passion. Passion qu'il a transmise à sa fille aînée, Yvonne, qui en signe les illustrations. La réédition de ce livre est d'actualité : si la forme de l'autophobie évolue, elle reste finalement très constante sur le fond ! Le fil conducteur de l'histoire de « La Maîtresse d'Acier » pourrait être l'histoire d'amour entre Odette et Pierre... Banale. Au premier degré. Mais en fait, il s'agit de l'histoire d'amour de Pierre de Lustrac pour sa voiture. Ce roman permet d'avoir une vision de la société en 1925 et de la place que l'automobile y occupait. Il permet également de faire un voyage à Marseille, sur les routes de Provence, et de visiter des lieux légendaires pour les passionnés des voitures, comme le Mont-Ventoux ou l'autodrome de Miramas.
