Enfermé à vie dans sa cellule de luxe, David ne devrait plus désormais représenter le moindre danger pour le couple Marc-Édith. Du moins, en théorie, car entre les frères Sollens, rien n'est jamais aussi simple. Et si vous croyez qu'on ne peut faire aucun lien entre un autobus rempli de paroissiens, un officier de police amoureux, un rituel issu du Livre des Morts tibétains, et un ours géant assoiffé de sang, détrompez-vous : la saison 5 vous réserve plus de surprises encore que toutes les précédentes.
Inutile de rappeler aux inconditionnels de Doggy bag les turpitudes de la famille Sollens. Quant aux novices, qu'ils n'hésitent pas à se laisser tenter, ils ne pourront plus s'en passer... Alors pour ceux qui n'auraient pas lu les premiers épisodes, en voici un bref aperçu...
" Doggy bag parvient à être ce qu'est toute série réussie : la toile d'araignée de toutes les contradictions d'une humanité vue à travers un microcosme. " Nelly Kaprièlian, Les Inrockuptibles.
" Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué " Tel pourrait être l'adage du clan Sollens. En effet, tout ne cesse de dégénérer dans cette famille. À la fin de la saison 3, c'est Victor qui paye les pots cassés. Bien qu'il ait tiré son ex-femme, Irène, des griffes de son ravisseur psychopathe, celle-ci n'a pas montré la moindre reconnaissance à son égard. Ses fils ne lui adressent plus la parole depuis qu'il refuse de poursuivre en justice les administrateurs véreux de la mairie. Bref, l'énergie commence à lui manquer. David, quant à lui, semble avoir encaissé avec placidité le mensonge de Josianne sur sa pseudo-grossesse. Pourtant, au fond de lui, quelque chose s'est brisé. Épuisée par les exigences sexuelles de Marc, Édith a repris contact avec son psychiatre. Sa fille Sonia trouve plus de plaisir en la compagnie de David, son oncle supposé, qu'en celle de Marc, peinant à trouver sa place de père. Joël, son petit ami devenu paraplégique, commence à recouvrer ses facultés. Victor, en revanche, est retrouvé pendu dans la maison familiale...
D'une saison, l'autre... La famille Sollens, menacée d'implosion, plus divertissante et perverse que jamais !
Complots, disparitions, réapparitions, mises en valeur d'un personnage en particulier : Djian continue de jubiler en se réappropriant tous les ressorts de la série télé pour les transposer (voire, les subvertir) en littérature. Jouant sur le double sens du mot saison, il n'hésite pas à donner un rôle de premier plan aux conditions climatiques. Après le tremblement de terre, la pluie diluvienne et la canicule, la saison 4 se déroule cette fois dans un froid hivernal qui n'est pas pour adoucir les moeurs de cette famille déchaînée. À force de se jouer des tours pendables, le clan Sollens pourrait bien courir à sa perte ! Mais avec Djian, on n'est jamais à l'abri d'un miracle !
Philippe Djian a réussi son audacieux pari. Le succès en librairie de Doggy Bag 1 s'est poursuivi avec la saison 2.
Extravagante, déjantée, désopilante, la famille Sollens est devenue la nôtre. Pas un jour ne se passe sans que nous mourions d'envie de connaître la suite de leurs aventures. Pas de panique, la saison 3 arrive !
Quand, à la fin de la saison 2, Irène, la mère des frères Sollens, se fait enlever par un menuisier psychopathe avec lequel elle vient de s'ébattre sauvagement à l'arrière d'une camionnette, le suspense est à son comble...
Petit rappel... Dans Doggy Bag 2, vous avez souffert avec David durant un laborieux marathon sous un déluge tropical dévastant la ville. Vous vous êtes révoltés avec Marc contre les administrateurs véreux de la ville. Vous vous êtes émus du coma prolongé de Joël, le petit ami de Sonia. Vous avez réprouvé les stratagèmes de Josianne pour forcer David à l'épouser. Vous vous êtes étonnés qu'elle le quitte finalement avec perte et fracas. Mais vous vous êtes réjouis de leur réconciliation sur l'oreiller et de leur somptueux mariage.
Philippe Djian entraîne son lecteur dans un zapping permanent. Supense et rebondissements s'enchaînent pour explorer une fois de plus les méandres de l'âme humaine et la complexité des sentiments.
Comme l'ont très bien perçu les critiques littéraires, le grand art de Doggy Bag est de jouer avec subtilité sur tous les ressorts de la pulsion amoureuse. Car c'est le désir et lui seul qui régit les passions de ces personnages tragi-comiques, imaginés par un auteur dont la verve et la jubilation créatrice ravissent. La saison 3 en est une nouvelle illustration : Victor, le vieil époux éconduit, parviendra-t-il à retrouver Irène en vie grâce à ses relations haut placées ? Qu'adviendra-t-il du mariage de Josianne et de David lorsque ce dernier apprendra que sa femme n'est pas enceinte ? Joël retrouvera- t-il toutes ses facultés durant sa convalescence ? Sonia décidera-t-elle de se sacrifier pour lui ? Quant à Édith, pourra-t-elle enfin choisir entre les deux frères Sollens ? Évidemment, ce n'est pas nous qui vous le dirons...
Doggy bag, la saga du clan Sollens écrite en trois ans et six « saisons » par Philippe Djian est un succès qui a fait de nombreux adeptes. En appliquant à la littérature les codes de la série télé, l'auteur le plus américain des lettres françaises a réussi son pari insensé : nous tenir en haleine avec le récit à rebondissements du destin extravagant d'une famille de fous furieux. Cette année, il faudra compter avec un nouveau cadeau incontournable : les six saisons réunies en un seul volume, six succès d'affilée pour (re)découvrir le phénomène Doggy bag et s'en délecter d'une seule traite. Tout commence lorsqu'une belle inconnue entre, sans se faire annoncer, dans le bureau des frères Sollens. A peine ont-ils le temps de la reconnaître, stupéfiés, qu'une onde de choc traverse la ville et fait trembler ses fondations. Quarante-cinq secondes plus tard, le tremblement de terre cesse, mais l'existence de David et Marc Sollens, les deux célibataires les plus sexy de la ville, vient de basculer pour toujours. Après vingt ans d'absence, Edith, leur amour de jeunesse, a fait sa réapparition, bien décidée à trouver lequel des deux frères était le père de sa fille. Lorsque s'achève la première saison de Doggy bag, le destin des frères Sollens et de la peuplade d'individus qui les entoure reste en suspens, et le lecteur en haleine. Parce qu'il est maître dans l'art de créer des personnages foncièrement humains, Philippe Djian nous attache malgré nous à ces individus aussi ordinaires que détraqués, dont le sort deviendra bientôt aussi important que le nôtre. Inspiré par l'invention permanente et jubilatoire des séries américaines ? complots, disparitions, réapparitions, mises en exergue d'un personnage en particulier ?, Philippe Djian exulte en se réappropriant tous les ressorts de la série télé pour les transposer (voire les subvertir) en littérature. Jouant sur le double sens du mot saison, il va jusqu'à donner un rôle de premier plan aux conditions climatiques qui accompagnent un séisme : pluie diluvienne, canicule et froid polaire qui ne contribuent pas à adoucir les moeurs de cette famille déchaînée. Comme l'ont très bien perçu les critiques littéraires, le grand art de Doggy bag est de jouer avec subtilité sur tous les aspects de la pulsion amoureuse. Car c'est finalement le désir et lui seul qui régit les passions de ces personnages tragicomiques, imaginés par un auteur dont la verve et la jubilation créatrice ravissent. Une expérience d'écriture hors norme pour l'auteur de 37°2 le matin et d'Incidences, une expérience de lecture d'un nouveau genre pour les nombreux fans de Philippe Djian et pour ceux qui ne le connaissent pas encore : délicieusement addictive et inoubliable.
A la fin de ta saison 1. " Marc sauta avec Sonia par une fenêtre aux croisillons calcinés et ils roulèrent curieusement en contrebas avant d'atterrir dans un potager où Paul faisait pousser son herbe. Il resta allongé sur le dos un instant pour reprendre son souffle. il n'avait pas lâché Sonia durant leur dégringolade et il la tenait contre lui. Elle respirait comme une forge. Le toit de la remise était sur le point de s'effondrer et le feu rugissait, éclairait la nuit comme la chute d'une comète. Et Marc se disait que sauver la vie de sa fille le jour où ils se rencontraient était un bon début. " Comme vous le découvrirez dans cette deuxième saison, rien n'est moins sûr...
Certains écrivains, ne sera jamais réglée. Je ne m'en acquitte que d'une faible part, aujourd'hui. D'un c?ur joyeux. " Philippe Djian. Philippe Djian nous offre un texte jubilatoire qui se déguste ou se dévore. Avant de se précipiter, en refermant la dernière page de son Ardoise, pour lire ou relire Salinger, Céline, Cendrars, Kerouac, Melville, Miller, Faulkner, Hemingway, Brautignan et Carver.
" Desperate Housewives ", " Les sopranos "... Si les coffrets DVD des séries cultes sont à la mode, il faudra cette année compter avec un nouveau cadeau incontournable sous les sapins : le coffret de la première " série littéraire " jamais publiée en France.
Trois premières saisons, trois succès (déjà près de 100 000 exemplaires vendus avec les deux premiers volumes) réunis dans un superbe coffret, pour les fans de la série ou ceux qui veulent la dévorer sans souffler, épisode par épisode.
En appliquant à la littérature les codes de la série télé (l'attente, le suspense, etc.), Philippe Djian a réussi son audacieux pari.
Parce qu'il sait comme personne raconter l'histoire de cette famille décadente, on ne peut que devenir " accroc " à la dernière innovation de l'auteur phare, le plus américain de la littérature française. Parce qu'il est maître dans l'art de peindre des personnages pathétiquement humains, et du jeu pervers des désirs, il nous attache malgré nous à un groupe d'individus aussi ordinaires que détraqués, dont le destin est aujourd'hui devenu aussi important que le nôtre (ou presque !).
Extravagante, déjantée, désopilante... Pas un jour ne se passe sans que nous mourions d'envie de connaître la suite des aventures de la famille Sollens.
" Ce qui garde le lecteur en haleine, c'est le swing de Djian, avec ce jeu de jambes qui fait qu'aucun personnage n'est jamais au repos. " (François Vey, Le Parisien) Il faut dire que rien ne leur est épargné. Comment Marc pourrait-il se remettre de la nouvelle, lorsqu'il apprend que sa fille de dix-neuf ans batifole avec son meilleur ami, qui, lui, n'en a pas loin de quarante-cinq ? En tant que sexolique anonyme incapable de réfréner sa libido, alors qu'il s'apprête à épouser la femme de ses rêves, est-il en mesure de porter des jugements sur les autres ? Quant à Victor, son père, ce vieillard qui fut le plus bel égoïste que la terre ait porté, faut-il se fier à lui lorsqu'il semble soudain habité par la grâce et multiplier les bonnes actions ? Si encore son frère David pouvait lui prodiguer son aide, mais ce dernier a trouvé le meilleur moyen de mettre à distance les conflits familiaux : se faire enfermer pour meurtre en prison psychiatrique !
Plus apocalyptique que jamais, cette ultime et sixième saison de Doggy bag donne enfin son sens général à l'ensemble de la série : le chaos moral de la famille Sollens est l'exact reflet de celui de nos sociétés modernes.
À chaque saison sa température. Cette fois, Noël approche ainsi que le mariage tant attendu d'Édith et de Marc. Tandis qu'une chape de neige et un froid polaire s'abattent anormalement sur la ville, la famille Sollens vaque à ses occupations comme si tous ces signes de dérèglement climatique n'indiquaient pas le déclin manifeste de notre civilisation... Mais attention au retour de bâton : toute histoire a une fin, et celle-ci promet d'être explosive...
certains hommes couchaient avec béa dans le but d'obtenir une réduction sur l'achat de leur voiture.
sur certains modèles, ils pouvaient réaliser une économie appréciable. ainsi débute doggy bag, la première série littéraire écrite par philippe djian - avec jubilation. julliard publiera la deuxième et la troisième saisons de doggy bag en 2006.