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Prix
Jacques Richard
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Quand il se rend chaque semaine chez sa tante Léna pour y chercher l'argent dont a besoin sa mère, il court, il vole, il rêve, propulsé par le désir.
Dépourvu de tout parti pris moral pour se mettre au plus près de ceux qu'il raconte, Jacques Richard révèle les passions qui traversent et parfois déchirent les êtres.
Trois ans après La femme qui chante, plusieurs expositions de peinture, un court traité sur le dessin (Nues) et un recueil de poèmes au Cormier il revient au roman. Son écriture, précise et juste, y est plus puissante que jamais. -
Ce recueil tente de marquer une certaine inadéquation de l'être au monde. Inadaptés au lieu, inaptes à l'autre et séquestrés dans la parole qui est le bruissement de notre espèce.
C'est aller nus dans le noir.
Reste le poème.
Pas le vent de ce qu'on voulait dire, mais la nécessité des failles que les mots maintiennent béantes et du silence auquel ils exhortent.
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"Et ton corps et les mots, c'est pareil.
C'est tout un.
C'est tout nu."
Écrit sous l'eau est une suite de proses brèves au croisement de la poésie et de la narration, où l'on retrouve toute la puissance d'évocation du romancier Jacques Richard (la Femme qui chante, la Course, éd. Onlit).
Où sommes-nous ? Dans des lieux et un temps indéterminés, où la mer, les corps, les chemins et le ciel incertains, l'opacité du jour et la nuit alentour pèsent cependant de tout le poids de leur présence.
Qui sont-ils ? Un je qui adresse fréquemment à un tu. Deux êtres à la dérive qui boitent de n'être pas un et s'épuisent de se chercher sans fin. Mais se trouve-t-on jamais ?
Dans le secret de la chambre, l'existence n'est pas moins pleine d'ivresses et d'abîmes que dans la forêt du monde. Car vivre, c'est danser sur le fil tendu entre l'illusion de ce que nous croyons être et le péril de la réalité, dans la chair d'une langue que Jacques Richard fait parler pour nous, même et surtout quand il dit je. -
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« Elle fait pff en avançant la lèvre inférieure pour décoller les cheveux qui lui chatouillent le nez. Elle agite encore sa corde à sauter, sans conviction. Elle essuie de temps à autre sa figure très ronde, un peu lourde, avec le dos de sa main ou même le revers de sa robe. Et c'est à ce moment-là, celui où un pan de tissu est levé devant son visage, que passe sur la route quelque chose de rose. Et quand c'est passé, la petite fille n'est plus là. Sur le bord de la chaussée, il n'y a plus que la corde. Une corde vert fluo avec des poignées en plastique ».
Disparition?? Enlèvement?? L'auteur de Scènes d'amour et autres cruautés nous enlève, nous aussi, sans complaisance, des lieux de notre quotidien. Dans la rue, dans une salle d'attente, à table, au lit, il nous surprend en flagrant délit d'innocence. D'absence. Le basculement s'est produit subrepticement. Il nous entraîne dans les profondeurs plus ou moins avouables de notre petit infini personnel et il nous laisse alors tout seuls face à nos questions.
Nous retrouvons, dans l'écriture de Jacques Richard, le goût du dérapage, du sens pluriel et détourné. L'acuité de l'observation, la puissance d'évocation ouvrent sur une vision du monde dont l'humour parfois corrosif n'oblitère jamais la tendresse pour ses semblables.
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Prisonnière du dortoir, le petite Solange attend un miracle pour la délivrer de la rigueur du pensionnat algérien. Celui ci se produit : c'est le retour précipité au pays. Avec l'arrivée dans ce « pays miracle, pays Miracoli, pays tout mélangé salé sucré », Solange n'est pas pour autant libérée. C'est une vie de femme qui s'ouvre, admirable et brutale, marquée au fer rouge par cet adage martelé alors par les mères à leurs filles : « La femme donne, elle se donne, l'homme prend ». Solange subira la morale des hommes, qui tout interdit, qui tout salit. Mais quand elle chante, contre les dents du monde, Solange enfin change de vie : le chant déborde et la déborde. Solange se libère et pourtant disparaît, dans le même mouvement.
Jacques Richard nous livre un portrait âpre, touché de cette poésie qu'il maîtrise à la perfection, un roman féministe qu'il dédie à ses deux filles et à ses cinq soeurs. Et à toutes les autres.
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Les passions adjacentes : de la vraie vie (au cinéma)
Jacques Richard
- Éditions L'Harmattan
- Rue Des Écoles / Littérature
- 14 Mars 2024
- 9782336441030
Yvan est un cinéaste qui convoque ici les fantômes de sa vie, depuis son adolescence jusqu'à sa vie d'adulte, durant laquelle il eut la chance de croiser des personnages extraordinaires qui lui ont permis de découvrir cette « Planète Cinéma » qui fait tant rêver depuis son invention. Ses souvenirs se mélangent dans son esprit, et lui reviennent telles des bouffées savoureuses selon le désordre de la vie. Mais certaines de ces rencontres improbables peuvent aussi donner à réfléchir sur cette galaxie interlope où le génie côtoie parfois « les affreux de la création ».
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Il faut d'abord très bien damer la terre. La tasser du talon. La lisser du plat de la main. Y tracer un carré pas trop petit. Et planter dedans sa lame d'un jet, sans bavure. Le sens du tranchant dans la terre oriente un trait qui démarque le « pays » choisi par le tireur. Le plus petit possible. On efface le reste. Chacun tire à son tour et le terrain s'amenuise. Ça dure un peu quand même. On prend rarement le risque d'être éliminé en tirant à côté. Gagne celui dont le territoire est devenu suffisamment exigu pour qu'on ne puisse plus le scinder.
Là, c'est sérieux. Les visages sont fermes, fermés. Les adultes sont ailleurs. On peut faire silence.
Il importe moins de gagner que de faire perdre aux autres ce qu'ils ont acquis. Les plus grands supputent la qualité et le nombre de coups, calculent quand reviendra leur tour et imposent leur ordre. Ou bien on tire au sort. Il y a quelque chose de vindicatif, de sciemment intrusif en même temps que de solennel dans le geste qui plante, qui enfonce l'arme dans la terre vineuse et défigure la propriété du précédent. Les questions d'adresse se transforment en questions d'honneur. Les bouches sont pincées, on guette la moquerie, les sourcils se rassemblent. À proprement parler, il ne s'agit pas d'un jeu. Pas comme les osselets, le noyau, les billes. Plutôt un rituel qui marque tacitement qui est qui, qui peut jouer ou non, qui dit et qui écoute, qui peut faire quoi à qui.
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Dans Le Carré des Allemands, un homme cherche son père, dont il est séparé depuis l'enfance et dont sa mère ne parle pas. Il comprend peu à peu qui fut le père : engagé à 17 ans dans la Légion des volontaires français contre le bolchevisme, transformé en Waffen SS. En fuite à la Libération, il emmène sa famille ailleurs pour, enfin, s'évaporer.
«Il a fait la guerre. Il était là-bas, à l'Est. À l'Est, on a fait ça, comme partout ailleurs. Peut-être que lui non. Mais il était présent. On est parfaitement sérieux quand on a dix-sept ans. On sait très bien ce qu'on fait. On sait ce que veut dire mépriser. Être méprisé. Haïr. On sait ce que veut dire tuer. On apprend comment il faut faire. On apprend à tuer. On apprend à aimer ça.» Le Carré des Allemands de Jacques Richard a paru il y a deux ans aux Éditions de la Différence. Suite à la liquidation judiciaire du célèbre éditeur, ONLIT Editions le réédite aujourd'hui, avec une couverture illustrée par Solal Israel et une postface de René de Ceccatty. Le roman de Jacques Richard, un livre intense et vibrant, constitue à nos yeux une pièce importante de la littérature française contemporaine.
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La Cantate des incertitudes : Les Tribulations amoureuses d'un jeune cinéaste
Jacques Richard
- Editions Maïa
- Quantum Scandola
- 23 Janvier 2025
- 9791042511029
La Cantate des incertitudes s'amuse à dépeindre le portrait d'un jeune cinéaste du genre romantique. Julien James, vingt-cinq ans, est à la fois en quête de son âme soeur et de la réalisation de ses films d'auteur. Ces deux objectifs se révèlent aussi complexes à atteindre l'un que l'autre et l'entraînent dans un road movie allant de la Grèce aux États-Unis, puis de la Grande-Bretagne en Irlande. De retour à Paris, ses déconvenues professionnelles le disputent à ses déceptions amoureuses. L'humour n'est jamais loin, tant ce don Quichotte du cinéma réussit chaque fois à trouver le recul nécessaire pour rebondir. Le lecteur sera happé par cette fuite en avant vécue au pas de course, et aux mille rebondissements.
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Le héros de cette histoire est une maison de famille, qui à travers cinq générations a connu une vie parfois paisible, parfois mouvementée. Le protagoniste principal est Madigan, qui à travers ses yeux d'enfant, tout d'abord, découvre ses ancêtres tels qu'ils étaient dans cette maison, ancienne faïencerie, dans un village imaginaire, comme il en existe des milliers en France. Puis, devenu adulte, Madigan devient cinéaste, et tourne des films dont la maison est un catalyseur qui abrite des histoires d'amours parfois sulfureuses. Ce décor révèle tout au long du récit des « valeurs implicites » auxquelles Madigan est attaché, et qui constituent en filigrane une forme de morale contemporaine.
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La médecine à ses frontières : La pratique médicale en question
Jacques Richard
- Éditions L'Harmattan
- Éthique Et Pratique Médicale
- 12 Juin 2025
- 9782336517964
L'exploration de plusieurs des marges de la médecine autorise des interrogations sur les domaines dans lesquels il semble actuellement primordial de porter l'attention quant à ses trajectoires antérieures et à venir.
A été retenue ici l'approche de leurs confins naturels, tels ceux de la clinique et de la biologie, ceux de l'affection, de la maladie et de la pathologie et ceux de la médecine par âge. Ils côtoient les confins conceptuels, ceux des médecines humaniste, holistique et factuelle et ceux des sciences sanitaires. L'alimentation, le sommeil, l'esthétique et la liberté permettent d'éclairer les racines de ces confins existentiels. Les rapports de la médecine avec le droit, la justice, l'armée, le sport et le travail autorisent enfin l'investigation de données essentielles sur les confins disciplinaires.
À chacune de ces limites, il est possible de découvrir des imprécisions, des équivoques et des contradictions avec lesquelles doit encore s'aménager la médecine actuelle. Elles rendent compte à leur manière de son histoire. Elles en expliquent les péripéties, les interrogations, les orientations et les freins imposés à la pratique et aux progrès attendus. Elles laissent surgir l'espoir de prospectives originales soutenues par la réflexion éthique et épistémique. -
"Le présent ouvrage est le fruit d une année d entretiens avec des personnalités du cinéman contemporain, toutes ""éprises de liberté"" dans leur façon d aborder le Septième Art, soit de manière ""libertaire"", soit de manière ""libertine"". En tout, 25 entretiens avec des personnalités comme Jean-Pierre Mocky, Catherine Robbe-Grillet ou Jean-Claude Dreyfus. On découvrira, au fil de ces révélations, quelques-uns des morceaux de bravoure de ces cinéastes qui n ont pas eu peur de provoquer, au risque parfois de croiser la censure d une société souvent trop conformiste."
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Comptabilité générale ; système français et normes IFRS (8ème édition)
Jacques Richard, Christine Collette
- Dunod
- Gestion Sup
- 9 Juillet 2008
- 9782100521685
La mondialisation de l'économie et des systèmes d'information bouleverse l'enseignement de la comptabilité.
A jour des dernières réformes des normes ifrs et du système comptable français, cet ouvrage de référence offre une formation complète, théorique et technique : exposé des différentes conceptions de la comptabilité ; mise en perspective historique et sociale des normes ifrs et des systèmes comptables ; présentation des principaux outils et opérations comptables, illustrée d'exemples, de modèles d'écriture et d'états financiers.
Un nouveau chapitre dédié à la " comptabilité verte " enrichit cette 8e édition. chaque concept (actif, passif, résultat, produit, dette, investissement corporel / incorporel...) est envisagé sous l'angle de la confrontation entre position de l'iasb et nouvelle position française. des développements sur les comptes consolidés viennent compléter l'étude menée sur les comptes sociaux.
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Comptabilité financière ; normes IFRS versus normes françaises (9e édition)
Jacques Richard, Didier Bensadon, Nadine Jaudet
- Dunod
- Management Sup ; Comptabilite, Controle De Gestion
- 7 Septembre 2011
- 9782100560172
Cet ouvrage de référence propose une présentation complète de la comptabilité générale. Il offre une formation à la fois théorique et technique. Il permet ainsi d'appréhender les enjeux socio-politiques de la comptabilité dans le «monde post-Enron». Des développements sur les comptes consolidés complètent l'étude menée sur les comptes sociaux. A jour des dernières réformes des normes IFRS et du système comptable français, cette 8e édition est enrichie d'un chapitre sur la «comptabilité verte».
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Vanvéen de souche, Jacques Richard vous convie à une nouvelle flânerie dans le Vanves d'autrefois. Fort du succès du premier tome, l'auteur, insatiable collectionneur toujours en quête de la perle rare, vous offre ici, grâce à de nombreux documents exceptionnels patiemment collectés, une belle rétrospective de Vanves à la fin du XIXe et au début du XXe siècle.
Ce voyage dans un passé pas si lointain permet de comprendre l'évolution de la ville et de ses quartiers. C'est avant tout un patrimoine architectural, culturel, social et économique qui vous est présenté ici. Alors laissez-vous surprendre par ces tranches de vie prises dans leur quotidien et fixées sur la pellicule, avant tout témoins de l'histoire de Vanves.
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La maladie d'Alzheimer
Jacques Richard, Jean Constantinidis, Constantin Bouras
- PUF
- Nodules
- 6 Novembre 1992
- 9782130420590
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Dictionnaire des acteurs du cinéma muet en France
Jacques Richard
- FALLOIS
- 14 Septembre 2011
- 9782877067478
Ouvrir ce dictionnaire, c'est aller à la rencontre d'une foule, inattendue et surprenante, d'acteurs venus des théâtres de boulevard, de la Comédie- Française, du café-concert, du cirque, ou débutant dans l'art nouveau ; ils sont la masse de manoeuvre, la chair même du cinéma muet.
Il y a les géants irréfutables : Georges Méliès, Max Linder, peut-être aussi Ivan Mosjoukine. Il y a aussi les obscurs, les modestes comme Luce Fabiole, les indéchiffrables comme l'inconnue qui se fit appeler Lady Nobody, le nain Delphin qui se suicida.
Entre ces extrêmes, les célébrités dont le souvenir demeure plus ou moins, mais il n'est pas inutile d'apporter des précisions en faisant revivre Gabrielle Robinne et René Alexandre qui formèrent le premier « couple idéal » du cinéma français ; Polaire à la taille de guêpe, qui joua Claudine et imposa à l'écran le personnage scandaleux avec lequel elle se confondait ; René Navarre, l'impérissable Fantômas de Louis Feuillade qui se flattait d'avoir imaginé une manière de jouer « beaucoup plus simple, les mains dans les poches » dont beaucoup d'acteurs s'inspirèrent ; « la petite Arduini », future Suzy Prim qui, tournant en Italie, fut séduite et abandonnée en 1916 par le marquis Pescara de Castellucio, puis se jeta à l'eau à Zurich mais rata son suicide, avant de gagner Paris où Lugné-Poe la sauva en lui faisant jouer Ibsen ; la belle Claude France, spécialiste des rôles d'aventurières distinguées, qui se trouva au coeur d'une affaire d'espionnage aux conséquences si funestes qu'elle choisit de se donner la mort le 3 janvier 1928 ; Lucien Cazalis, comédien du Boulevard loué par Jacques Copeau, qui partagea sa vie entre les séries comiques Jobard puis Caza, et les courses cyclistes, jouant dans l'ombre d'Henri Desgranges un rôle essentiel dans l'organisation du Tour de France.
Beaucoup de passion dans ces carrières si dissemblables, mais on entendit souvent le son du tiroir-caisse : dès janvier 1912 furent filmés et commercialisés les exploits pugilistiques de Georges Carpentier que sa gloire planétaire précipita bientôt dans le cinéma de fiction. Jusqu'à la grande Sarah Bernhardt qui avoua tourner des films (pas très bons) pour gagner, comme elle disait, « des argents ».
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Comptabilité générale ; les systèmes français et anglo-saxons
Christine Collette, Jacques Richard
- Dunod
- Gestion Sup
- 7 Novembre 2000
- 9782100050390
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Psychiatrie gériatrique : esquisse d'une histoire medicale par l'élaboration de son langage
Jacques Richard
- Éditions Mardaga
- 20 Avril 2022
- 9782804722012
C'est la mise en mots progressive de la psychiatrie gériatrique qui sert ici de trame à son histoire des quarante dernières années. À l'emprunt terminologique des débuts succèdent, dans l'action thérapeutique, le rejet, l'adaptation, la modification et, finalement, la création d'un langage au service d'une pratique en prise directe avec une réalité de mieux en mieux perçue. Ce langage contribue, dans cette période, à donner une idée précise de l'évolution conceptuelle qui s'est produite en faveur de la personne âgée atteinte d'affection psychique.
Jacques Richard a, comme Professeur à l'Université de Genève, consacré de nombreux travaux scientifiques à la pathologie mentale de l'âgé et à la psychogérontologie dont il a introduit à Genève le premier enseignement universitaire.
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Les champs du cacao ; un défi de compétitivité Afrique-Asie
Hanak Freud/Richard
- Quæ
- 1 Avril 2004
- 9782876143784
La baisse marquée des cours mondiaux de nombreux produits tropicaux depuis le milieu des années 80 a conduit le Cirad à entreprendre une étude comparative de la filière du cacao dans les trois premiers pays producteurs : la Côte d'Ivoire, le Ghana et l'Indonésie. Il ressort de cette étude la capacité d'innovation et le dynamisme des opérateurs ivoiriens de la production et de la mise en marché, le handicap que représente, pour la cacaoculture ghanéenne, de trop nombreuses années de taxation excessive des producteurs et de monopole d'Etat et la bonne performance d'une cacaoculture Indonésienne ayant su tirer parti d'un contexte économique et naturel favorable.
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Les systèmes comptables français et anglo-saxons ; nores IAS
Christine Collette, Jacques Richard
- Dunod
- Gestion Sup
- 17 Octobre 2002
- 9782100065806