On dirait que le plus grand plaisir de Sophie est de désobéir à sa maman. Les bêtises sont si tentantes : mettre au soleil sa belle poupée de cire qui a froid, se mouiller les cheveux pour les faire friser... Hélas, la vie est ainsi faite que les enfants désobéissants finissent toujours par être punis
Une énorme bedaine, le plus grand coeur qui soit, des colères terribles - mais qui ne durent pas... Accompagné de ses amis de L'Auberge de l'Ange gardien, voici le général Dourakine de retour dans sa chère Russie ! Mais l'immense fortune du vieux général attise les convoitises... particulièrement celles de sa redoutable nièce, la Papofski. Il faudra toute l'ingéniosité du vieux Dourakine et de son fidèle intendant Dérigny, pour déjouer l'avidité de cette hypocrite parente...
Au château de Fleurville, Camille et Madeleine sont deux « petites filles modèles » qui font la joie de leur maman. Hélas, il n'en est pas de même pour la pauvre Sophie... Battue, fouettée par sa méchante belle-mère, la malheureuse accumule les sottises.
Depuis qu'il a perdu ses parents, Charles vit chez la redoutable Mme Mac'Miche, une mégère qui l'affame, le bat et le fait travailler pour rien.
Heureusement, Charles n'est pas tout à fait seul au monde, il y a Betty, la femme de chambre, et Juliette, sa douce et tendre cousine Juliette...
L'été est enfin arrivé, avec son lot de drames, de bêtises et de joies ! Pour les vacances, Camille, Madeleine, Marguerite et Sophie se trouvent réunies avec leurs trois cousins au château de Fleurville. À bâtir des cabanes, chasser les papillons et courir dans les bois, on ne voit pas le temps passer...
Simplicie et son frère Innocent sont deux petits Bretons qui ne rêvent que d'une chose : vivre à Paris. Ils parviennent à la capitale. Les désillusions sont nomb-reuses car ces deux enfants gâtés, suffisants et orgueilleux, ne comprennent pas l'accueil que leur réservent les parisiens.
Je ne suis pas mauvaise bête mais je n'aime pas être maltraité. Aussi je me suis enfui de chez la fermière qui me rouait de coups...Vivant dans les bois, couchant à la belle étoile, j'ai eu cependant l'occasion de rendre quelques services. J'ai tiré une petite fille d'un incendie, secouru une vieille femme...Ma bonne volonté se heurte souvent à l'ingratitude des hommes, mais, bah ! après tout, il est vrai que je ne suis qu'un âne !...
La forêt des Lilas ? Quel nom merveilleux pour un lieu redoutable ! Hélas, en y entrant, la jolie princesse Blondine ne se doute pas qu'elle ne pourra en ressortir... Que va-t-elle y trouver ? Découvrez aussi dans ce recueil les aventures du Bon Petit Henri, l'histoire de la princesse Rosette, les facéties de la Petite Souris grise et les déboires d'Ourson...
Sophie multiplie les catastrophes : elle a teint un mouton en noir et manqué de brûler vif son chien ! Lorsque ses cousins arrivent c'est l'occasion de s'amuser : Camille, Jacques, Valentine et Louis, tous adorent se raconter des histoires pour rire... mais aussi pour se faire peur.
La Messe des petits enfants de la Comtesse de Ségur agrémentée de nouvelles illustrations d´Inès Rouy.
Les péripéties de héros attachants sur fond de guerre de Crimée. Un roman plein de charme et de fraîcheur où l'on retrouve le style inimitable de la comtesse de Ségur. À partir de 9 ans. Nouvelle présentation.
La comtesse de Ségur est la fille du gouverneur de Moscou, Rostopchine, qui, en 1812, mit le feu à la ville pour faire reculer Napoléon. Arrivée en France à l'âge de dix-sept ans, elle épouse, trois ans plus tard, le comte de Ségur qui lui donnera huit enfants. Elle commence à écrire à l'âge de cinquante-cinq ans, alors qu'elle est déjà grand-mère. Contemporaine de Balzac, de Flaubert, de Pouchkine et de George Sand, elle peint avec précision la société du second Empire et des débuts de l'ère industrielle. La véracité, parfois douce, parfois cruelle de son témoignage, ne gâte en rien la richesse foisonnante et comme magique de son inspiration. Les romans de la comtesse de Ségur ont battu tous les records de vente de livres pour enfants (plus de trente millions d'exemplaires, toutes éditions confondues). Reléguée dans le genre mineur de la littérature enfantine, elle est restée depuis cent trente ans dédaignée des adultes et de la critique littéraire. La voici enfin ressuscitée et rétablie dans son rang de grand écrivain.
A la fin de sa vie, la comtesse de Ségur a raconté à ses nombreux petits-enfants, en trois ouvrages qui remportèrent un succès considérable, l'Evangile, les Actes des Apôtres et, pour finir, l'Ancien Testament.
Rassemblés ici en un seul volume sous le titre La Bible d'une grand'mère, ces trois récits très complets présentent toute l'histoire sainte, depuis la création du monde jusqu'à la mort du dernier apôtre.
«Il y avait près de six mois que Blondine s'était réveillée de son sommeil de sept années ; le temps lui semblait long ; le souvenir de son père lui revenait souvent et l'attristait.» Blondine s'est aventurée dans la forêt des Lilas qui lui était pourtant interdite. Elle y est recueillie par le chat Beau-Minon et la biche Bonne-Biche : c'est dire qu'on veille sur elle! Mais son père vieillit loin d'elle et elle se languit de sa vie d'avant. Une tortue se propose de la ramener, mais à des conditions difficiles à tenir pour une toute jeune personne : pas de signe d'impatience et pas un mot pendant le voyage. Dans ce conte, grandir signifie acquérir de la sagesse.
+ un dossier en quatre parties :
Je découvre.
J'analyse.
Nous avons la parole.
Prolongements.
La comtesse de Ségur est la fille du gouverneur de Moscou, Rostopchine, qui, en 1812, mit le feu à la ville pour faire reculer Napoléon. Arrivée en France à l'âge de dix-sept ans, elle épouse, trois ans plus tard, le comte de Ségur qui lui donnera huit enfants. Elle commence à écrire à l'âge de cinquante-cinq ans, alors qu'elle est déjà grand-mère. Contemporaine de Balzac, de Flaubert, de Pouchkine et de George Sand, elle peint avec précision la société du second Empire et des débuts de l'ère industrielle. La véracité, parfois douce, parfois cruelle de son témoignage, ne gâte en rien la richesse foisonnante et comme magique de son inspiration. Les romans de la comtesse de Ségur ont battu tous les records de vente de livres pour enfants (plus de trente millions d'exemplaires, toutes éditions confondues). Reléguée dans le genre mineur de la littérature enfantine, elle est restée depuis cent trente ans dédaignée des adultes et de la critique littéraire. La voici enfin ressuscitée et rétablie dans son rang de grand écrivain.
La comtesse de Ségur est la fille du gouverneur de Moscou, Rostopchine, qui, en 1812, mit le feu à la ville pour faire reculer Napoléon. Arrivée en France à l'âge de dix-sept ans, elle épouse, trois ans plus tard, le comte de Ségur qui lui donnera huit enfants. Elle commence à écrire à l'âge de cinquante-cinq ans, alors qu'elle est déjà grand-mère. Contemporaine de Balzac, de Flaubert, de Pouchkine et de George Sand, elle peint avec précision la société du second Empire et des débuts de l'ère industrielle. La véracité, parfois douce, parfois cruelle de son témoignage, ne gâte en rien la richesse foisonnante et comme magique de son inspiration. Les romans de la comtesse de Ségur ont battu tous les records de vente de livres pour enfants (plus de trente millions d'exemplaires, toutes éditions confondues). Reléguée dans le genre mineur de la littérature enfantine, elle est restée depuis cent trente ans dédaignée des adultes et de la critique littéraire. La voici enfin ressuscitée et rétablie dans son rang de grand écrivain.
Dans le froid, dans la nuit, deux petits garçons, blottis l'un contre l'autre, grelottent au bord de la route. Un homme vient à passer par là : c'est un soldat dénommé Moutier. Attendri par ces enfants sans famille et sans le sou, il les conduit dans un joli logis qui respire la joie : L'auberge de l'Ange-Gardien.
Julien fait le bonheur des fermiers qui l'ont recueilli, contrairement à leur propre fils, Frédéric. Ce dernier suit aveuglément les conseils d'un mauvais génie, Alcide Bourel, voisin de la ferme. Ensemble, les deux garçons vont de bêtises en vilaines manigances. pour le malheur du pauvre Julien !
Depuis que François est devenu bossu à la suite d'une chute, tout le monde se moque de lui. Seules Christine et sa cousine Gabrielle l'acceptent dans leurs jeux et lui témoignent une amitié chaleureuse et sincère. Car la petite Christine des Ormes connaît elle aussi la souffrance : négligée par ses parents, maltraitée par sa bonne, elle ne semble heureuse qu'auprès de François. Mais les parents de la fillette s'apprêtent à quitter la campagne et à s'installer à Paris : Christine sera-t-elle séparée de son ami et abandonnée à sa solitude? C'est oublier la tendresse que lui portent l'excellent père de François et Paolo, son précepteur italien si original...
Camille et madeleine sont des modèles de sagesse et de gentillesse. au château de fleurville, elles font la joie de leur maman. difficile d'en dire autant de la pauvre sophie. battue, fouettée par sa méchante belle-mère, la malheureuse accumule les sottises. est-il trop tard pour que la petite orpheline entre dans le droit chemin ?
Il était une fois une petite fille qui n'arrêtait pas de faire des bêtises ! Pauvre poupée, que va-t-il encore t'arriver? Les enfants adoreront apprendre l'anglais avec ce livre bilingue, adapté d'un classique !
Geneviève est un coeur d'or : chacun trouve grâce à ses yeux. Même le cousin Georges, qui l'entraîne dans bien des bêtises, même M. Dormère, son oncle, qui a la faiblesse de trouver que Georges est le plus parfait des garçons. Car les coeurs sont aveugles parfois...
Félicie est contrariée : visiter Clodoald et Cunégonde de Castelsot, avec grand plaisir, mais les pauvres Germain, non merci, sans façon !
Car Félicie a une haute idée de sa petite personne, même si cela ne l'empêche pas d'être encore un peu ignorante...